Au revoir, Femme de Boue ( avec permission de Saiko )

Malyssia était très occuper. Et lui aussi tout compte fait. Il avait le champ libre pour faire une ''petite balade'' avec le fils de la tyranne et bien évidement, sans l'accord de l'un ou l'autre. On pouvait donc qualifié ça d'un... enlèvement. Avec cet enlèvement, il respecterait l'accord passer avec Haine sauf qu'il devait trouver une solution pour respecter aussi celui avec la magicienne... Il pensa donc à lui laisser un message avant de quitté le campement comme un voleur avec Shiro sur son dos. Son seul problème se présenta un peu plus loin sur sa route et se nommait Saiko. Cette horrible femme de Boue avait encore l'intention de lui mettre des bâtons dans les roues et il n'acceptait pas ça.

En fait, cet inciddent commença par un soupire d'exaspération... Il avançait tranquillement, surement et aussi sur ses gardes que pouvaient l'être un aveugle lorsqu'il entendit sa voix.

- Où vas-tu comme ça avec cet enfant ?

Ses yeux changèrent de couleur et il pu distingué d'où provenait la voix.

- Attend... ça se voit pas que je le kidnappe ? Et tu crois que je vais te dire où je vais ?

Il reparti à la marche mais elle apparue devant lui.

- Non mais, tu va me lâcher ?

- Tu...

Il lui décrocha un coup de poing en plein visage, la contourna et reprit sa mar...

- Me frapper ne te servira à rien. Je sais que tu es toujours en colère après moi pour...

- Ouais ouais. Si t'a comprit, alors dégage !

- Je ne peux pas te laisser l'emporter !

Un sourire carnassier apparu sur ses lèvres. D'un coup mièvre, il enfonça une main dans le corps de Saiko. Plusieurs lames la transperçèrent de l'interieur et quand il retira sa main, il tennait un joyaux des plus important pour la Femme de Boue.

- I'm so sorry...

Ce qui n'avait l'air aucunement sincère et, c'était exprès. Une énergie entoura la pieere qu'il tennait dans ses mains et d'un coup, le lien qui liait la pierre de la terre avec Saiko mourrut.

- It's only your fault... Goodnight darling...

Il passa à côté d'elle qui, restait figé d'une stupeur lié à la perte de son pouvoir. Il fit glisser sur son cou ses doigts. Sa peau s'ouvra en petits sillons sanglants et alors, il reprit son chemin, sans être interompu. Il avait récuperer en plus, un petit souvenir bien tapi au creux de lui.