Là ou je suis ( Saiko )

Il marchait, inlassâblement. Un pas lourd, avant un autre. Il n'y pesait sur ses épaules qu'une chaleur oppressante depuis un certain temps, un peu... un peu comme si... Oui... maintenant qu'il y pensait c'était déjà arrivé, une fois. Il y avait bien longtemps, il était presque sortie au grand jour. Mais le Moyen-Âge et la crainte des sorciers lui avait rendu la tâche impossible. Personne ne l'aida se jour-là. Ils l'avait même fait paniqués. Il arrêta sa marche. Devant lui, une brèche. Il pourrait être libre... Il devait seulement...

Dans l'ombre plongeant à l'interieur du Cratère, un phénomène semblant tout droit sortir d'un film d'horreur se produisit. Un bras enmitoufflé dans la manche d'une cape miteuse fit son apparition, comme sortant de nul part. Mais qu'est-ce qu'il en avait rien à foutre, il fallait qu'il tente sa chance. Il y avait quelqu'un, tout près, il le savait. Les bords du chapeau de sa cape aussi noir que le lieux qu'il tentait de quitté, fut visible aussi à l'exterieur, mais son visage restant impossible à voir.

- Ai... Aidez-moi ! J'vous en supplis ! AIDEZ-MOI !

Et alors qu'il tentait de s'extirpé un peu plus de l'ombre dont il fut prisonnié pendant plus de décénies qu'il en faut pour rendre fou n'importe qui, le sceau se réactiva. Des mains d'ombres sortirent pour mieux l'attraper, paniqué, il se mit à crier aussi fort qu'il le pouvait, de cette voix ni féminine, ni masculine, mais rouillé par le temps.

- AIDEZ-MOI ! AIDEZ-MOI !

Il tendait le bras, désesperé.

Saiko se promenait, elle était en transe, la terre criait : une brèche s'était créer, une brèche qui ne devait être, mais surtout, surtout, une âme, celle d'un enfant, une âme torturé. C'est dans un état second qu'elle se matérialisa à côté de la brèche et utilisa toute sa force et sa puissance pour tirer le pauvre enfant, prisonnier d'une autre dimension. Lorsqu'elle l'eut complètement sorti de la brèche et que celle-ci fut refermé, Saiko reprit totalement conscience et la terre arrêta de crier son mal. Alors seulement put-elle réellement constater que la personne qu'elle avait tiré de la brèche était couvert d'un vêtement noir et avais une mine sombre. Mais, n'ayant aucunement peur de l'être devant elle, elle s'approcha et décocha le plus beau sourire charmeur et doux qu'elle avait.


"Bonjour, je vous ai entendu appeler, alors je suis venue. Si vous avez besoin de mon aide, je suis toute ouïe et je suis prête à vous prêter main forte. Je ne semble peut-être pas aussi fiable que je ne le suis, ni aussi mature, mais je peux vous promettre que je suis quelqu'un de confiance."

Saiko tendit alors une main vers Naki tout doucement, sans geste brusque, comme si c'était un animal effrayé. Un sourire aussi doux et réchauffant que la mère terre devrait avoir.

"Je m'appelle Saiko Yamaguzi, enchantée de te connaître, et toi, quel est ton nom?"

Ah... de l'aide ! Enfin, il y avait sur cette terre quelqu'un d'aussi... stupide pour avoir sauver son âme damné. Il se retrouva alors ensevelie sous les sensations toutes plus merveilleuses les unes que les autres. En commençant par le soleil de l'après midi chauffé sa peau sous son vêtement. Il avait entendu une voix, celle de la stupide créature qui l'avait délivrer, la sensation encore présente du toucher sur lui. Il leva la tête, doucement, le soleil frappant ses yeux gris. Il resta un moment fixant bien l'astre de feu, son visage couvert de cicatrice maintenant visible. Lorsqu'il baissa la tête, ses yeux était remplacé par deux orbites vides.

- Femme de boue... J'nais pas de nom à te donner.

Il tourna la tête à gauche, puis à droite. Sa vision s'étendait au delà du Cratère. Aucune âmes dans les environs. Il lui manquait une sensation qui lui manquait bien...

- Tu dis avoir de viables et aimables intentions... mais je ne te crois pas.

Il afficha un air de dédain.

- Je dois admettre que tu m'as bien aider et c'est pourquoi je te laisserais la vie. Dit-moi maintenant ou se trouve le village le plus près, Femme de Boue.

Un sourire malsain vint dépeindre l'image de faiblesse qu'elle avait eu de lui en venant l'aider. Oui... il n'avait pas été rassasié par le carnage qu'il avait commit. Tout ça à cause du vieux débrit... Son oeuvre n'était pas terminer... La destruction, plus grande forme de l'art... mais... qu'une chose était brouillé dans son esprit... pourquoi il avait commencé le massacre ? plus de mille ans auparavant ? Son corps lui faisait mal... pourquoi donc ?

Il aurait fait peur à quiconque autre que Saiko, mais elle qui avait entrevu l'âme torturée et troublée de ce pauvre garçon. Elle n'avait pas pitié non plus, cela aurait été de la folie, mais elle ressentait un amour pour cet être abandonné et oublié des temps anciens. Tous ne l'avaient pas oublié, elle ne l'avait pas fait, ni la terre. Elle était la détentrice de la mémoire. Lorsqu'il lui dit qu'il lui laissait la vie sauve, elle eu un sourire ironique : on ne pouvait la tuer que d'une seule manière, qu'il ne savait pas, et elle aurait tôt fait de l'immobiliser ou de disparaître avant qu'il ne puisse la tuer... Il ne la croyais aucunement, et pourtant, c'était la Mère de tous de par son sang, elle ne voulait de mal qu'à ceux qui la trahissait. Enfin, elle n'allait pas le forcer à lui faire confiance. Elle allait seulement lui prouver qu'elle était quelqu'un de confiance.

Il voulait un village? Elle le créa donc. En faisait appel à sa magie, elle se fit ériger un village pleins de marionnettes qui ne vivait pas vraiment, des pantins, qui lui obéissaient au doigt et à l'oeil, bien entendu, elle l'avait créé au bas du volcan, là ou on ne pouvait le voir. Elle décocha un sourire aimable au revenant et s'approcha de lui pour le guider. Elle lui pris doucement la main, ne craignant rien, mais sachant qu'elle courait un danger certain.

"Je vous prierai de me suivre. Le village est juste au bas de la montagne, mais le chemin pour y accéder est périlleux et secret. De plus, peu de personnes peuvent y entrer, ils se font tuer avant, à moins d'être accompagné d'une personne du village. Moi-même étant la prêtresse officielle, si je vous accompagne, vous allez pouvoir y entrer et faire ce que vous voulez y faire sans crainte de représailles. Je suis une femme influente dans ce petit village."

Sur ces mots, un sourire affectueux et remplis d'amour lui fendit le visage.

Alors qu'elle était à même de créée le village, il regardait dans sa direction. Alors c'était ça, sa réponse ? Pathétique. Il voyait l'énergie qu'elle déployait de la terre, et donc, le tour qu'elle tentait de lui jouer. Il tourna donc la tête vers l'autre sens, là-bas, il y avait un vrai village, ou une ville comme disait certain. Et il sentit la main de la Femme de Boue prendre la sienne, au travers de l'épaisseur de sa cape. Une colère absurde monta en lui, mais en vérité, il confondait avec de la puissance pur. La main de cette Saiko fut transpercé par plusieurs choses et il retira sa main de la sienne, en s'éloignant d'elle.

- Femme de Boue ! Ne pense pas à me duper... Je...

Ses yeux tombèrent sur sa main, qu'il observa attentivement, prit dans sa contemplation. Puis, alors que le vent agitait sa cape, il la retira. Son corps blanc, ses cheveux courts et blonds et les multiples cicatrices qui couvrait son corps habilé d'un simple hakama en piteux états, baignait sous l'intensité des rayons solaires. Ses yeux redevinrent normaux, alors qu'il examinait son corps. Une peur panique commençait à s'installé sur son visage squelettique. De ses mains aux longs doigts fins, il palpa sa peau à plusieurs endroits, avant de tombé sur sa nuque.

- Nakigararo...

Il promena son regard un peu partout, avant qu'il ne tombe sur Saiko.

- Tu... tu me vois... tu m'as... vu... Je vais... je vais te détruire...

Dans ses yeux, une lueur de folie s'installa, alors qu'il était déjà devant elle, comme s'il s'était téléporter. Sourire cadavérique se faisait accompagné par le retour des orbites vides. Il avança une main vers l'élémentale.

- C'est comme ça qu'ils m'ont appeler... Nakigararo !

Il lui frôla la gorge de ses doigts et des filets de sang jallirent.

Lorsque sa main fut transpercer, un cri de douleur lui échappa, mais elle eu tôt fait de se taire. Il tourna sa tête dans la direction de la ville, celle qu'elle voulait protéger et, alors, elle su qu'il avait flairé la supercherie. Un sourire immense lui fendit le visage, et elle en appela à ses pouvoir pour détruire la ville.

"Ainsi tu as deviné! Bravo, peu de gens arrive à me voir pratiquer ma magie."

À peine ses mots furent prononcés, qu'elle entrevit le corps couvert de cicatrices de Naki. Les yeux de Saiko s'emplirent de larmes et son coeur lui serra dans sa poitrine. Elle n'avait pas de pitié, mais elle savait maintenant une chose : Nakigararo souffrait, mais il ne se l'avouait pas même à lui-même. Elle se dit qu'il avait simplement besoin de chaleur humaine. Elle avait maintenant un nom, elle sourit. Il s'approcha d'elle au même moment ou elle voulait s'approcher et lui donner un câlin magistral. Ses doigts frôlèrent sa gorge et son sang parti, mais elle ne cria pas cette fois, elle savait ce qui venait. Elle se vidait lentement de son sang, elle agonisait, pourtant elle sourit, toujours avec le même amour.

"Tu ne peux me tuer, et je t'aimerais malgré toi, âme souffrante. Je suis la Mère de tous, je vous aime tous sans exceptions."

Elle commanda à son corps d'aller enlacer l'homme à l'esprit torturé. Elle vit la peur dans ses yeux, mais elle le savait, il en avait besoin. Elle sentit pleins de lames la transpercer, mais elle s'en foutait. L'énergie de la terre se dirigea vers elle et elle guéris son propre corps. Elle fut guéris en un rien de temps et un sourire époustouflant lui éclaira le visage.

"Tu vois? Tu n'as pas réussi à me tuer... Et je ne t'en veux pas."

Quelle femme stupide que celle de boue qui se présentait devant lui, lui souriant comme une mère. Ça le dégoûtait ! Il n'était pas sorti de son enfer personnel pour qu'une mégère lui fasse la morale ! Naki fut completement effrayé lorsqu'elle le sera contre elle. Folle, elle était tout simplement folle. Et à son contacte, sa peau lui démangea et il vit des lames transperçer Saiko. C'était un spectacle beau, magique même. Les gouttelettes de sang virevoltait, tâche chaude dans un décors si froid et sans vie. Mais elle ne mourrait pas.

- Pourquoi tu ne t'éffondre pas, Femme de Boue !?

Il la regarda alors, ses non-yeux dans ceux de l'élémentale et il comprit, mais cela ne freina pas sa colère.

- Je veux que tu meurs ! JE VEUX QUE TU MEURS !

Les lames se rétractèrent, avant de retranspercer le corps de Saiko, encore, et encore, et encore...

- Non ! NON ! NON ! POURQUOI TU NE MEURS PAS !?

Plus il criait, plus il paniquait. Personne, personne n'avait jamais été à même de résisté, de vivre après l'avoir vu... Personne sauf ceux qui l'avait enfermé... Sa puissance s'épuissait pour rien, cela faisait si peu de temps qu'il était sortie, il n'avait pas encore récupéré de son voyage dans Nul Part. Son souffle s'accelera, se n'était pas bon signe pour lui.

- Merde... POURQUOI ?

Les lames disparurent et il se laissa, abandonné dans ces bras qui lui apportait une chaleur qu'il se souvenait n'avoir ressentit qu'une fois et ça le torturait.

*Mais... juste... pour cette fois... *

Ses propres bras entourèrent Saiko, sa ''vision'' se brouilla, alors que ses yeux reprenaient leur apparence normal. Alors qu'il s'éffondrait dans l'inconscience, après avoir dépensé tant d'énergie pour arriver dans ce monde et à tenté en vain de tuer la Femme de Boue, il se jura qu'il y réussirait un jour. Comment ? Il croyait avoir trouver...

Dès que Nakigararo tomba, elle le déposa sur ses cuisses et contacta ses frères pour leur dire de ne pas se fâcher contre Naki et de le protéger si jamais elle venait à mourir. Puis, elle envoya un pantin au palais de Malyssia pour la remplacer. Ensuite, elle créa quelques répliques d'elle-même pour leur faire chanter quelque chose pour apaiser un peu l'âme torturé de Naki pendant qu'elle se reposait à ses côtés, en l'entourant de bras protecteurs. Il avait peut-être essayé de la tuer, il l'avait transpercé à plusieurs reprises, mais elle savait que c'était par peur. Elle ne voulait autre chose que calmer un peu l'âme qui n'aspirait qu'à la paix. Elle savait que probablement personne ne pouvait le guérir outre elle-même. Elle était la Mère de tous et ne trahissait jamais ceux qu'elle prenait sous son aile, à moins d'une très grave trahison de ceux-ci. Juste avant de s'endormir, elle caressa le visage, en évitant soigneusement ses cicatrices, de Nakigararo. Elle leur créa une bulle dans son sommeil sans même s'en rendre compte, seul elle-même, ses pantins et Naki y était inclus, ceux qui aurait passé par là aurait simplement vu un énorme bloc de roc. Une douce chaleur les entourait. Tout en s'endormant, Saiko se promit de rester avec Naki autant qu'elle le pourrait, de ne pas l'abandonner.

La nuit était tombé à l'exterieur, mais il faisait clair là ou il était. Lorsqu'il ouvrit les yeux, la première pensé qui le traversa fut ; mais il ne fait jamais nuit dans se putin de monde ? Le contacte de la Femme de Boue lui rappela le souvenir de la dernière machination qu'elle avait fait pour le leurrer. Naki se défit de Saiko et s'pprocha en chancelant d'un des murs. En le touchant, il sursauta et reccula.

- Woh !

C'était bien ce qu'il pensait... elle l'avait enfermé. Il ouvrit ses yeux doucement, la lumière les heurtaient.

- Femme de Boue ! Hey ! FEMME DE BOUE ! RÉVEIL TOI !

Il se sentait nerveux, elle osait se moquer encore de lui ! Il frappa du poing dans le mur, l'onde de choc du coup se fit sentir, mais rien ne se produisit. Cette satané femme... Il se retourna vers elle, son sourire de mort... un sourire fou l'accompagnant dans ses pas.

- Femme de Boue, je vais te prendre ta vie, en échange d'avoir essayé de me duper et même, de m'avoir emprisonner.

Ses yeux argenté brillait de malice.

Le sommeil de Saiko fut troublé par les cris de son "prisonnier". Tout de suite elle se dit qu'il faisait trop clair pour que ce soit normal. Ensuite, elle aperçu le regard plein de haine et de malice que lui lançait Naki. Elle ne compris que peu de temps après qu'ils étaient enfermés. Elle jeta des regards de tous côtés et se sentait complètement perdue.

"Que... Quoi?! On est ou? Hein? Hein? Hein?"

Peu à peu, elle compris que c'était une part d'elle qui avait créé ce "cocon" ou ils étaient enfermés. Elle soupira et regarda Naki avec tout l'amour qu'elle avait.


"Je... Pardon, mais dans mon sommeil, je n'ai plus du tout le contrôle de mes pouvoirs... Des fois, des choses comme celle-ci se produise. Surtout quand un désir puissant m'habite. Là, je désirais un endroit chaud, lumineux et confortable... Je ne voulais absolument pas me retrouver enfermée, ni enfermer quelqu'un avec moi... Sache seulement que, si tu me tue, tu resteras enfermé ici, à moins qu'un de mes frère ne viennent t'ouvrir. Ce qu'il ne feront pas pour se venger... J'en suis désolée..."

Quelque part au fond d'elle-même, elle savait qu'il ne lui pardonnerait pas. Elle savait aussi qu'elle ne pouvait pas y faire grand chose, elle ne pouvait pas lui montrer son âme ou ce genre de chose.

Naki passa une main dans ses cheveux, les ébourrifants comme il le pouvait, en baissant la tête. Son sourire s'élargie, il ressentait ce frisson... Oui, celui qui passat autrefois sous sa peau, il y a bien longtemps, lorsqu'il commit son premier véritable crime. C'était comme un glissement sous sa peau, un serpent chargé de particule électrique qui mettait ses sens en éveil.

- Tu es désoler, je suis désoler, tout le monde est désoler ! Alors fait pas chier !

Sa main retomba le long de son corps qui oscillait, balancé, les yeux fermés.

- Si...

Sa tête bourdonnait, tel un eccho. Il était las d'essayer de raisonné. Ce qu'elle était chiante cette fille.

- Alors Femme de Boue, tu dis que si je te tue... je ne pourrais pas sortir d'ici...

Dans un geste plutôt classieux, il la pointa. Naki releva la tête, les yeux toujours clos, ne réussissant pas à empecher la lumière de s'insinué sous ses paupières. Quelle inconsciente que cette Femme de Boue, elle le menaçait maintenant. Elle le menaçait alors qu'il avait un moyen. Il ferait qu'une bouché de cette effronté, lorsqu'il aurait...

- Il y a un moyen... pour que je sorte d'ici... même si je détruis tout de ton corps de boue. Il y a une chose... au creux de toi... qui émet ton pouvoir... Je n'ai qu'a le prendre. C'est ce que ça coûte de me faire chier...

L'homme couvert de cicatrice face à l'élémentale se mit en position de combat.

- Il y aurait qu'une chose que tu pourrais faire... Tu as la vie sauve... si tu me laisse partir.

"Mon corps n'est rien... Mais j'ai un autre moyen d'avoir la vie sauve... Moyen qui me répugne, mais je n'ai plus le choix de l'utiliser..."

Elle ne pouvait plus rien faire, elle avait échoué... Tout ce qu'elle pouvait faire, c'était de fuir et d'enfermer Nakigararo. Cependant son cœur lui faisait mal, horriblement mal, quand elle pensait que c'était sa seule solution à moins de mourir. De chaudes larmes coulaient sur ses joues, non pas par peur, mais parce qu'elle ne voulait pas faire ce qu'elle s'apprêtait à faire. Cependant, elle voulait vivre et s'occuper du bébé Shiro lui était plus important que de s'occuper de cette pauvre âme torturée... Elle le regarda une dernière fois avec tout son amour directement dans les yeux.

"Je suis désolée, au revoir..."

Instantanément, elle disparut dans le sol, éparpillé en molécule traversant le sol jusqu'au Palais de Malyssia, dans le jardin. Elle se re-matérialisa et s'effondra en pleures. Elle se détestait d'avoir fait ça et d'avoir agis aussi stupidement. Elle n'aurait jamais dû l'abandonner, elle n'aurait jamais dû créer ce cocon même si ça n'était pas conscient. Dès lors, elle l'effaça de sa mémoire et espéra qu'un autre arrive à lui ouvrir le cœur.