On sait jamais pourquoi il frappe ainsi (libre)

Cela fait plusieurs semaines que des rapports mentionnent une créature particulièrement vorace qui rôderait dans les alentours du port. Bien des gens y ont laissé la vie en cherchant à la traquer ainsi que les voyageurs trop imprudents ou les habitants qui y allaient seuls.
Son apparence laissait supposer une sorte de gros lézard. Mais... Des témoignages racontent qu'il aurait des parties métalliques, une sorte de casque lisse sur les yeux le rendant aveugle, des pattes de chat géant et qui ferait des bruit gutturaux. Mais cela ne put se vérifier car la bête courait toujours et ne cessait de faire des victimes. Des groupes de chasseurs de primes avaient accouru et durant plusieurs jours et nuits les cris de ces groupes se répercutèrent un peu partout dans le port avant qu'ils ne moururent subitement une nuit. Depuis, des patrouilles étaient régulièrement organisées pour chercher à débusquer la créature mais en vain.

Le crépuscule approchait doucement sur cette journée qui promettait d'être relativement belle. Mais quelque chose clocher pour un garde en faction dans une tour de guet. Il n'y avait pas le bateau qui passait tout les jours en limite de vision sur l'horizon à cette heure-ci. Et là... Rien. Il n'y avait pas son passage. Peut être qu'il avait été coulé par une frégate de la flotte. Un éclat vint lui titiller dans l'oeil avant qu'il sente le vent sur son visage et que sa tour ne semble grandir pendant que lui tombait... sans son corps !
L'équipe Azur avançait avec facilité à cette heure-ci. Les gardes étant pas au mieux de leurs formes, l'équipe pouvait éliminer toutes personnes sans trop de difficulté. Mais tout le monde devait se dépêcher car bientôt ça se reproduirait comme à Lythia il y a bien longtemps.
Les assassins avancèrent sur une même ligne, sautant les obstacles et se servant des ombres pour continuer d'avancer jusqu'à l'objectif qui...

Quelques jours avant :

Dans une salle souterraine, l'équipe Azur devait faire face à une salle remplit de pièges en tout genre et se devait de jouer d'esquive et rivaliser d'acrobatie pour ne passer se faire tuer. Le Seigneur Dakata en personne était présente ainsi que le Général Sid et le Commandant Rongar des Coeurs Noirs. Trois hautes autorités réunies dans un même endroit signifiaient qu'ils attendaient beaucoup de cet entrainement pour savoir s'ils pouvaient leur confier une mission importante. Cela décupla la soif de réussir de l'équipe qui s'élança.

Maintenant :

L'équipe Azur avait accomplit le test bien que deux d'entre eux avaient péri dans la salle mais l'équipe fut assignée pour la préparation du terrain pour l'atterrissage des cylindres. La zone était presque nettoyé mais déjà des doutes sur le silence de certains gardes semblaient déranger les autorités locales. L'équipe envoya le signal à ultrason et pris place un peu partout dans la zone en étant dans les ombres, les coins, les toits trop avancés etc... Pour intercepter d'éventuelle gêneurs.

Un pêcheur sortit de chez lui pour aller fumer une bonne pipe avant le départ en mer. Il s'assit sur le banc en bois usé et rongé par le sel mais qui tenait toujours debout aussi robuste qu'un chêne. Il tira sur sa pipe et souffla un nuage de fumée qui s'envolait doucement vers le ciel. Quelque chose attira son regard avec cette ombre énorme qu'il ne parvenait pas vraiment à assimiler à un nuage. Mais il s'en moqua. La mer allait être bonne et cela lui réchauffa le coeur car en plus sa zone allait être patrouillé aujourd'hui par plusieurs frégates de surveillances contre les navires pilleurs de l'Innommable.

Quelques heures avant :

"Le plan est audacieux. Mais je doute que cela suffise Seigneur."

"Vous dites que ce que le Seigneur Dakata vous a mit sous le nez ne vous convient pas, général Sid?"

"Je n'ai pas dis ça, Commandante Aya. Évitez de froncer des sourcils ainsi votre si beau vi..."

Deux balles se figèrent dans le plastron protecteur du Général qui fit un bond dans son siège. Le général s'effondra sur la table de commandement en toussant.

"Commandante Aya. Ce que le général Sid voulait dire c'est que l'attaque terrestre ne se déroulera pas comme il faut si on ne fait pas un bombardement sur les parties inoccupées par nos hommes. On va perdre beaucoup pour gagner sans doute rien du tout."

"Général Gariel. Vous êtes le responsable de la logistique. Est ce que vous avez bien compris ce que l'on attend de vous?"

Gariel semblait de moins en moins assurer par le regard froid et déterminé de Aya. Il dut déglutir pour reprendre la parole.

"Oui... Oui, je ne remet pas en doute le..."

"Alors faites ce qui vous ait demandé ! Générale Yillia ?"

L'hologramme de la Générale réagit par un léger hochement de la tête.

"Vous avez en charge du débarquement. Ne vous loupez pas sinon c'est votre tête qui ne se loupera pas."

L'hologramme fit oui de la tête sans dire le moindre mot. Sid se redressa difficilement et ne put dire le moindre mot et se contenta de regarder Aya qui montrait le rayon d'action sur le terrain via la carte 3D.
Dakata n'avait pas bouger une seule seconde de son siège gigantesque se contentant de les observer avec attention. Il manquait Rongar et Marine sans doute parties pour une mission urgente.


Maintenant :


Etonnant ! Des vaisseaux arrivaient du ciel pour venir droit vers le port. C'était un spectacle magnifique et terrifiant à la fois. Voir autant de ces choses volantes piquer vers le port était chose rare. sans doute un détachement spécial pour en finir avec cette créature démoniaque qui terrorisait la région. Malyssia avait décider de faire les chose en grand pour ces concitoyens, enfin !
Les canons des vaisseaux se braquèrent subitement vers les habitations et ouvrirent le feu donnant un concert d'explosion et de feu ainsi que de pierre volante. que se passait-il? Soudain, des vaisseaux rougeâtres surgirent soudainement et ravagèrent tout un quartier par un largage de missile mettant le feu les bâtiments tout proche qui avaient été épargné. Un vaisseau de transport commença à arriver non loin et le pêcheur put distinguer le blason : une main énorme et noire avec un I barbouillait dans son creux. Le blason de l'Innommable !

Les alertes se répercutèrent partout dans le port. Des Drakes avaient surgi de nul part et faisaient des ravages sur le sol abattant les pièces importantes avant qu'elles ne puissent intervenir rapidement.
Les transporteurs purent se poser assez rapidement sans essuyer trop de perte malgré des défenseurs endormis mais réagissant rapidement malgré l'heure. Les défenses antis-aériennes se mirent en marchent mais plusieurs furent détruites avant d'avoir put fonctionner. Les transporteurs vomir leurs troupes qui surgirent en nombre pour immédiatement massacrer la population sans faire la moindre distinction entre combattant et civil tout en pillant en entassant dans des chariots qui étaient non loin de certains groupes.
Rapidement, une zone très large se détacha du port marqué par les fumées d'incendies, les cris des mourants et des autres exactions de l'armée de Dakata. Les navettes de transports faisaient des allés-retours pour acheminer du matériel et des hommes pour le combat.
Une navette atérit et laissa sortir Dakata en personne escortait par Aya, Murielle et Julus. Les quatre quittèrent la passerelle de débarquement avant de voir arriver le Général Sid qui fit son rapport :

"Mon seigneur ! Les hommes sont bloqués dans les axes Hugo 43, Hugo 44, Hugo 47. Les axes Hugo 42, 45 et 46 sont impraticables par personne. Il y a des têtes de missiles non détruites et nous les avons pièges pour plus de sécurité. Les Drakes tiennent facilement tête au peu d'engin volant de l'ennemi mais les défenses à terre sont solides et..."

Dakata le dépassa subitement en clouant le Général sur place. Ce dernier regarda son Seigneur se diriger vers l'axe Hugo 47 en direction des chantiers de construction du port. Il désigna cinq groupes qui partirent immédiatement rejoindre Dakata pour l'escorter. Sid soupira et revint vers sa carte holographique posait à la hâte dans les ruines d'une bâtisse où déjà s'organisait les transmissions et poste de commandement pour distribuer les ordres et faire des comptes rendus réguliers aux tacticiens présents.
Dakata approchait de son pas lent et lourd vers les barricades de fortunes qu'avaient fait ses soldats pour faire face aux défenseurs qui ne cédaient pas un seul pousse de terrain. Bientôt le corps à corps serai inévitable pour les deux camps, seul moyen de dégager une situation aussi tendue. Les défenseurs firent des yeux ronds en voyant l'imposante silhouette de Dakata approcher. Les avertissements et cris désespérés se répercutèrent comme une trainée de poudre dans les rangs des défenseurs, et où certains fuirent sans demander leur reste.

"Tuer et piller tout ! La pitié est pour les faibles !"


Des arcs de magies parcoururent à ce moment là l'armure de Dakata et allèrent se projeter comme de grandes courbes droits sur les bâtiments alentours les faisant exploser et réduisant le sol en ruine quand les courbes passées. Dakata leva la main en signe d'arrêt et tout le monde s'arrêta à bonne distance pour voir ce dernier avancer se manquant des projectiles en tout genre ricochant sur sa sombre armure mais qui lançait toujours ses arcs magiques tout autour de Dakata semant la mort et la ruine.
Même en étant du côté de Dakata cela restait impressionnant à voir comme spectacle, mais aussi effrayant en pensant que s'ils passaient de l'autre côté ils subiraient le même sort que ces malheureux. Les troupes avançaient sur ordre des Coeurs Noirs pour achever les survivants et saccager ce qui restait tout en pillant sans vergogne.
Soudain, plusieurs personnes surgirent en embuscade. Elles étaient trop proche pour que les Coeurs Noirs puissent intervenir. Une hache s'écrasa lourdement sur le bras droit de Dakata et elle explosa en étant repoussé criblant de multiples morceaux de métal son porteur, une femme frappa à l'épée en passant sous la garde de Dakata mais l'épée cassa à l'impact puis la malheureuse fut balayé par un arc qui la coupa en grande partie. Deux lanciers frappèrent mais n'eurent pas plus de résultat et un arc horizontal fit regretter leurs gestes. Dakata n'avait pas bouger une seule fois pour se défendre ni même ralentit.
Ce fut un jeune homme qui fit arrêter Dakata en lisant son livre usé. Une boule de feu apparut dans sa main tendue quand il se mit a hurler de douleur. L'une des mains de Dakata absorber littéralement l'énergie magique mais aussi l'énergie vitale du lanceur de sort qui devint en un rien de temps un cadavre desséché et grimaçant. Après quelques hésitations, il se retourna et se déplaça vers les défenseurs médusés par cette transformation. Soudain, Dakata leva le bras face à lui et présenta sa main où bouillonnait l'énergie volait.
Ce fut une énorme vague d'énergie qui se déclencha rasant toutes les habitations et la rue sur plus d'une centaine de mètre. Des restes fumants témoignèrent de ce qui avait eu ici avant.
Les chantiers étaient en vu de l'Innommable qui referma son poing pour le pointer droit devant lui désignant les chantiers du doigt ce qui fit courir immédiatement tous les soldats derrière lui qui poussèrent des cris de triomphes.


Ailleurs :

Dans les alentours du port, une moto des plus insolite traversait la plaine pour s'arrêter sur une petite colline. Marine et Rongar en descendirent pour aller au bord et observer l'environnement avec des jumelles alors que dans leur dos se déroulait la bataille. Ils n'avaient pas beaucoup de temps pour le trouver et le ramener.

Malyssia marcha dans les couloirs de son chateau, rien n'allait en se moment... Ce pauvre fou pensait vraiment la narguer... La tyranne arriva dans la chambre de son fils et lui sourit.

"Bonjour mon amour, désoler de te déranger mais tu doit me suivre..."

Malyssia le prit dans ses bras et retourna sur ses pas. Maintenant fallait qu'elle essaye de trouver son mari. De pluas fallait qu'elle le convainque de ne pas bouger de la où il allait être... Quelque choses de beaucoup trop difficile mais il fallait qu'elle essaye.
Elle avait parcouru tout le chateau sans le trouver... Fallait au moins qu'elle parle au gardes ...
La tyranne alla jusque dans le tentes de son armées qui était encore en entraînement.
La belle tyranne faisait un peu tâhce dans le monde de l'armée... Elle ne ressemblait pas du tout a ses soldats, beaucoup trop belle, toujours ravissante, aucun défaut ne venait a elle... Toujours avec une sublime robe, talon haut, fard a paupière et autre babioles de filles...

"Yan!!!"

La voix de sa majesté résonna dans la tente. Le gros collose arriva juste quelque secondes après son apele et lui sourit.

"Je ne pensait pas vous revoir si vite, Majesté!"
"C'est pas pour ce que tu pense... On n'a autre chose a faire..."
"oh..."

Dans leur voix ont put sentir la tention, quelque chose se préparait et fallait absolument que le stresse de ne savoir où il était part pour qu'elle puisse faire ce qu'il faut pour son royaume.
Yan et la tyrannes partirent en retraits.

"Il prépare encore quelque chose, je l'ai vu... Maintenant que je peu voir plus loin je sais que deux d'entre eux vienne ici et je crois savoir qui ils veulent... Sinon qui ils pourraient vouloir."

Le regard de Yan se possa sur le fils de la tyranne et il avait totalement raison c'était bel et bien lui qu'il visait, sinon son mari, ce qui enclencherais cassiment pire que son fils.

"Il faut trouver Haine au plus vite... Et le ramener, mais avant tout tu doit mettre les plus fort au front... S'il approche trop dit moi lej'en tue un et tout va mieu aller... Ils ne doivent absolument pas approcher du chateau!"
"Mais..."
"Y'a pas de mais écoute moi!"

Malyssia lui tourna dos.

"Je sais que je t'en demande beaucoup, mais fais moi confiance, ils n'y arriveront pas! De plus on n'a assez de gardes ici pour au moins les retenir. Va au port... Tu les trouveras en chemins."

Malyssia sortie de la tente avec le regard de tout le monde sur le dos. Ce n'était pas le temps de se retourner pour leur mettre dans la gueule.


*Dans la tente*

"TOUS EN RANGS!!!"

Les sodats obéïr a leur chef qui semblait énervé de quelque chose... Les capitaines de sections avancèrent et allèrent de chques côté de Yan.

"Ressemblé les meilleures et envoyé les vers le port."
"Que se passe t'il?"
"On n'a pas le temps...Je vous donne 2 minutes..."

Le temps s'écoula et déjà les meilleur bras était à l'avant pour partir.


*De retour a Malyssia et Shiro*

"Ne tant fais pas mon bébé... Tout va bien aller... Tu me ferais plaisir si tu m'écoutait, aujourd'hui tu ne doit pas enfreindre un quelqu'on que règlement... Tu doit faire tout ce que je te dit d'accord?"

Pendant qu'elle parlait a son fils, elle avait repèré la vois de son mair dans sa tête, ses pensées quelque peu sombre en ce moment parvinrent à elle.

*Je t'aime mon amour*

La voix de Malyssia résonna dans la tête de son mari... La tyranne était juste derrière celui ci.

Dans l'axe 47 les troupes de Dakata avançaient rapidement sans rencontrer de réel problème mais déjà il y avait un léger changement dans l'attitude des défenseurs. Ces derniers refusaient le combat à distance et attendaient le combat rapproché ce qui rendait la moitié des effectifs de Dakata assez inefficace étant surtout entrainé à utiliser leurs armes à feux que l'épée dans leurs dos.
Dakata attrapa la tête d'un défenseur et l'écrasa comme un fruit trop mûre avant de lâcher les restes pour regarder les chantiers qui semblaient proches et pourtant cela aller demander du temps. Il le savait. Elle était là. Elle venait de prendre quelques dispositions pour son rejeton et lui mettre des bâtons dans les roues avant de lui préparer un coup dont elle savait si bien le faire. Qu'importe. Cette mortelle viendrait et leur affrontement ne durerait pas. Il n'était pas là pour elle, mais pour lui. Seul lui comptait pour le moment ainsi que certains objectifs.
Il leva la main en ignorant les deux soldats morts de son armée qui tombèrent à ses pieds avant de projeter un arc de magie droit sur un batiment à droite qui implosa laissant échapper son lot de cri et de douleur.


Poste de commandement central

Ca n'aller pas comme prévu ! Même l'intervention de son Seigneur ne permettait pas l'avance aussi rapide prévue. Il fallait y remédier rapidement.

"Entrer en contact avec l'escadron Damoclès ! Je veux qu'il me fasse le ménage sur l'axe 43 ! Qu'on puisse avoir accès à ces foutus quartiers d'affaires de cet endroit !"

L'opérateur se mit immédiatemment au travail.

"Ici Leader Damoclès. Bien reçu. Nous faisons un passage pour intimidation ou de destruction?"

"Destruction Leader. Le Général demande une frappe précise pour briser les défenses de cet axe."

"Bien reçu."

L'escadron Damoclès se désengagea rapidement des affrontements aériens avant de se reformer. Ils étaient neuf ce qui était l'un des escadrons les plus imposants pour toutes la flotte qui comportait des escadrons de trois Drakes d'habitude. Mais cet escadron avait la réputation de frapper vite, fort et sans perte chez eux. L'escadron adopta une forme de tête de lance et suivire leur leader qui exposa rapidement le plan de bataille. L'escadron plongea comme une fléche et passèrent en rase motte les maisons à la limite du tolérable faisant un boucant de tout les diables pour les gens qui se pressaient dans les rues fuyant les combats. La population hurla de terreur quand les deux derniers de la formation ouvrit le feu par intermitance criblant la longue colonne de gens.
L'escadron arriva en vu de leur objectif. Le leader fit verrouiller trois objetifs sur son écran de contrôle et les transmit à son escadron qui ouvrit ses soutes de missile.

Astig visa une tête et un petit nuage rouge apparut faisant tomber un nouveau mort chez l'ennemi. Il rechargea en étant agacé par cette situation. Astig faisait de son mieux pour mettre les transmetteurs, les messagers, chefs et autres personnes potentiellement vitale pour la cohésion des défenseurs mais rien à faire. Ils étaient bien entrainés et semblaient savoir comment s'y prendre maintenant avec eux ce qui était rageant. Soudain, une bourrasque fit bouger ses cheveux suivit d'un rugissement épouvantable de moteur. Il n'eut pas le temps de lever les yeux que déjà une serie d'explosion frappa plusieurs batiments ainsi que la rue réduisant les défenses en gruyères. Astig se redressa et épaula son fusil de présicion. Le lieutenant Olivier arriva en planant dans son armure volante.

"Snipeur Astig?"

"Mon lieutenant !"

"Repos, soldat. Je veux que vous me preniez toute cette rue dans votre lunette. Je menerai l'assaut avec le reste de votre unité. Vous avez ordres d'abattre tout ennemi."

"Bien mon lieutenant."

Astig s'engouffra dans la maison pour en ressortir et modifia son camouflage pour se fondre sur le pavé et prit la rue dans sa lunette prêt à faire feu.
Le lieutenant Olivier se posa délicatement sur le sol et essuya quelques tirs avant de se redresser, avec cet air blassé qu'il avait tout le temps. Il ordonna la charge et fut en instant sur les gens retranchés dans la maison où l'ennemi s'était retranché. L'escadron Damoclès refit un passage et tira de nouveau des missiles réduisant encore le nombre de défenseur ainsi que les habitations.

"C'est le Lieutenant Olivier qui mène l'assaut sur l'axe 43, appuyé de l'escadron Damoclès. Ils auraient besoin des chariots pour les objets qu'ils vont pas tarder à récupérer, mon Général."

"Envoyez la prochaine navette vers eux ainsi que l'équipe de récupération 31. Ou plus non. Envoyé Numéro 23 avec l'équipe de récupération. Je veux que l'on me renforce cette zone en défense."

Le transmetteur déglutit avec difficulté. Numéro 23 n'était pas celui que l'on pouvait appeller un allié de bienvenu. Il était capable d'arracher avec ses dents le blindage d'un char mais si c'était de chez lui c'était le dernier de ces soucis.


Ailleurs :

Marine et Rongar ne voyait pas où il pouvait se trouver. Pourtant les informations étaient formelles. Il était ici et nulle part ailleurs.
Rongar abaissa ses jumelles avant de sortir une cigarette. Marine cessa elle aussi et la lui arracha alors qu'il allait l'allumer. Rongar redressa la tête et se tourna vers Marine qui scrutait toujours la plaine.

"Rongar... Je..."

Ce dernier posa un doigt sur les lèvres de Marine qui tourna son visage vers lui. Le regard froid de Rongar et son impassabilité pouvait donner des sueurs froides à bien des gens mais pour Marine tout ceci n'était qu'une façade et elle y lisait d'autres choses. Ils se regardaient avec une grande intensité mais sans bouger l'un est l'autre. Marine voualit le lui dire. Mais c'est comme si le doigt de Rongar l'en empêcher. Le savait-il? Il devait le savoir forcément. Il savait tant de chose sans qu'on en parle.
Soudain, il eut un bip. Tout deux réagir en regardant les jumelles de Marine. Elle regarda dedans et le vit. Oui ! Il était là. Parfait ! Il se mettait en mouvement. Ils sautèrent sur la moto et Marine démarra en trombe avant de partir droit sur le vide pour attérir loudement sur le sol plus bas. Rongar commença à prendre des morceaux de la moto et à monter une sorte de fusil sur pivot. Marine ne prit pas le temps de mettre son casque et laissa sa longue chevelure danser au vent gênant Rongar juste assit derrière elle. La chasse allait bientôt débuter !

Cela faisait plusieurs jours qu'elle errait dans le port. Elle savait que son frère allait arriver, elle ne savait pas pourquoi, ni comment, mais elle le savait, ou plutôt, elle le sentait. Elle était partie du palais et attendait avec impatience la venu de ses deux frères pour pouvoir rendre visite à l'adorable prince et la joli reine. Cependant, elle avait entendu les rumeurs des disparitions. Elle en était inquiète, la venue de son frère coïncidait un peu trop à son goût avec ces évènements. Lorsque les troupes de l'Innommable débarquèrent et créèrent la cohue, Saiko comprit : son frère n'était pas venu tout seul, il apportait avec lui la guerre. Elle en était triste, mais c'était une conséquence de leur idée : observer l'histoire de proche au risque de se faire prendre au jeu. Une chance, ou un malheur, pour elle, elle avait quitté la garde avant que l'horreur du sang se répande. La puissance de la terre augmenta : la sang apportait une force nouvelle. Pourtant, ils n'avaient pas encore besoin de cette force, la terre était encore pleine de vie. Saiko ouvrit les bras en regardant le ciel : elle appelait à elle cette énergie. Son cœur lui dictait d'aller protéger la famille royale, sa tête la sommait de se cacher. Dans les deux cas, elle avait besoin de cette énergie. Elle disparut littéralement dans le sol, mais, dans la mêlée, personne de s'en étonna tout le monde étant trop occupé à leur propre fuite. Une fois fondue dans le sol, elle entendit tout : les cris, les pas, les voix de ses frères, le calme ailleurs, les alertes, tout ce qui se passait à la surface et à l'intérieure de la terre. Tant de panique, tant de sons, mais Saiko y était habitué. Elle avait appris à isoler les sons qu'elle voulait, à se détacher de la réalité et à se concentrer sur elle-même. Elle chercha les signes de vie du prince et de la reine. Elle voulait aller à leur rencontre, mais savait que c'était risqué : la reine allait probablement se fâcher. Pourtant elle s'y essaya, elle sorti littéralement de la terre face à la famille royale. Elle ne dit pas un mot, mais s'agenouilla devant eux. De la pierre, elle avait fait une armure. Elle ressemblait à une amazone du passé, accoutré d'une armure parfaitement ajusté, puisqu'elle l'avait fabriqué de la terre elle-même.

"Dame reine, je souhaite m'excuser de venir ici à l'improviste et d'apparaître soudainement devant vous, mais les circonstances m'y oblige. Vous et votre famille est en danger, je viens pour vous protéger. Je repartirai dès que le danger sera écarté, si tel est votre souhait. Je ne supporterais pas que celui qu'on a choisi en héritier de notre savoir meurt avant même de connaître un seul secret. Sachez que je ne vous veux aucun mal et qu'en gage de ma sincérité, je vous propose de me tuer ici et maintenant si vous le désirez."

Un trou immense se dégagea de l'armure au niveau du cœur. N'importe qui aurait pu enfoncer une dague dans son cœur sans problème. Elle avait un visage grave, sérieux. Elle attendait le coup fatidique.

Haine observait tout depuis qu’il avait eu ce mauvais pressentiment, il était là se cachant comme une ombre dans les recoins sombre de ce qu’il restait de nuit. Ses yeux suivaient le mouvement de chaque chose, ses oreilles écoutaient chaque bruit et son nez… comme celui d’un chien essayait de repérer sa proie.

retour en arrière

Il s’était levé de son coin lentement ne voulant pas réveiller sa petite famille. Le froid lui traversait le corps, mais ce n’était pas cela qui l’avait réveillé… Prenant son manteau, il se dirigea sans bruit vers la porte, sortant en la refermant doucement. Les gardes faisaient leur tour, quoi de plus normal à cette heure de la nuit? Raison de plus pour ne pas se faire repéré, se glissant lentement vers la sorti. Il cru un instant se faire prendre, mais fausse alerte.

maintenant

La main sur son arme l’albinos sortit de sa cachette. Il n’avait plus vraiment le choix et puis devait-il vraiment craindre ceux qui étaient avec l’innommable? Tout d’un coup il entendit la voix de sa Maly-chan, l’avait-il réveillé…? Non surement pas, c’était toute cette agitation dans le royaume. Il sortit sa nouvelle acquisition : un Mauser C96, qu’il avait soigneusement prit soin de rattacher à une chaine au cas où il en aurait besoin en combat rapproché. Il se retourna en sentant une présence derrière ; elle était familière, mais en ce moment devait-il se fier à ses sens ? Haine pointa son arme sur elle… son bras trembla un peu, puis voyant à quel point il avait été … stupide, il abaissa le bras.

- Va mettre le petit à l’abri…

Ne pouvait-il pas si bien dire quand une femme sortit d’on ne sait trop où. Son bras se releva, il était prêt à tirer s’il fallait. Puis écoutant le blabla de la dame, il sembla quelque peu surprit… Comme s’ils ne savaient l’un et l’autre qu’ils étaient en danger. Elle était un peu en retard. Mais un seul secret… ? Ses yeux firent un tour dans leur orbite, puis il appuya sur la gâchette sans le faire exprès. La balle frôla la femme et alla se loger dans le bras d’un homme suspect… coup de chance.

Il se pencha ensuite vers cette sublime créature( Malyssia, sans offence) et la gratifia d’un baiser qui ne dura que quelques secondes. Lentement il se recula ne voulant pas effacer immédiatement son image de sa tête. Puis d’un coup de tête, il lui fit dos et un sourire démentiel se dessina sur son visage ; le sang allait couler ! Haine savait que Malyssia pourrait s’en sortir avec cette étrange… « amazone ». Il se surprit un instant à se demander laquelle des deux était le plus amazone, pour lui la réponse était
clair…

Il se mit à courir remettant son fusil dans son étui et prit à sa place son katana. Il s’en servit à quelques reprises. Sa destination était facilement devinable, mais serait-il capable de l’atteindre sans se faire coincer par des subordonnés un peu entêté ? Un grognement s’échappa de sa bouche et d’un coup de mâchoire, il arracha… le bras d’un ennemi… Sa voix se fit inhumaine, et certaines personnes un peu trop proches de lui purent entendre…

- Je vais tous les réduire en bouillit et me rouler sur leurs restes !

Un rire démentiel et aussi inhumain que sa voix s’échappa de ses lèvres. Il n’allait pas les laisser détruire sa famille, mais il ne se gênerait pas pour détruire les leurs et en jouir pleinement. Tout ce sang… ces cadavres c’était pour ça qu’il était une erreur… Une machine de guerre qui avait mal tourné.

Se matin là, tout le monde étaient agités. Au début, il croyait que c'était un jeu, puis il sentit le danger. Il était partout, il faisait vibrer la terre, il était bruyant, il mettait en colère sa mère. Et tout le monde l'écoutait, et aujourd'hui, il devait en faire de même. Le bébé, encore un peu endormit se laissait balloté dans les bras de sa maman, alors qu'elle parlait avec quelqu'un d'important. Même s'il semblait être un garde, il ne l'avait jamais vue. Le petit Shiro n'écouta pas trop, la tête encore pleine de rêves.

Il eu une agréable surprise, après tout se blablatage, lui donnant le temps de bien se réveiller. Saiko était revenue ! Il l'acceuillit avec un grand sourire. Une moins bonne, Haine revint dans le décors. Tien, il avait une tête effrayante lui... Le petit fronça les sourcils, puis appeuré, s'aggripa mieux à sa mère. Et il repensa à la veille, à son père les yeux clos, semblable à un cadavre. Puis il repartit, et pu constaté qu'il n'était pas seul à ne pas avoir aprécier cette soudaine rencontre.

Et la conversation avec Saiko commença, ou plutôt, les instructions commencèrent. Il ne comprit pas tout, mais surtout l'essentiel. C'était quoi cette histoire de pièce ? Pourquoi il ne pouvait pas rester avec sa mère ? Les larmes aux yeux, les bras tenduent vers Malyssia, il ravala un sanglot.

- Non ! Ze veux rester avec maman ! Non ! Non ! Je veux pas !

Cependant, il était trop tard. Par la puissante magie de sa mère, il se retrouvait enfermé ( de nouveau ) dans la pièce circulaire. Une salle toute simple, sans aucune sortie et la seule personne qui avait réussit à détourner l'infaïbilité de cette magie, n'était plus.

- Onee-chan... je veux pas que ma maman me laisse... je veux pas qu'elle ne m'aime plus...

Il ressentait l'abandon avec douleur, sans comprendre que c'était pour son bien. Il voyait seulement l'exil qu'elle lui obligeait avec Saiko.

Axe 44

c'était qui ce débile? Il ... Bouffait ses hommes !

"Abattez le moi !"

Le nid de mitrailleuse lourde pivota et lâcha une volée de balle traçante droit sur l'albinos qui disparut. Le Sergent chercha des yeux ce type. Il n'y a que le Commandant qui pouvait se déplacer ainsi à sa connaissance. Et... Des cris. Ce type était entrain de les tailler en pièce ! Et... NON !!

"Général !! On se fait masacrAAAAAAAAAAAAAAA !!"


Poste de commandement

La communication fut coupée brusquement. Sid regardait la carte holographique. Le 3eme axe venait de recevoir un renfort étonnant et tout les renseignements concordaient : Haine et Malyssia se trouvaient en personne sur cette Axe.

*Et le Seigneur qui se trouve presque à l'opposé de cette position... Ils ne sont pas fous. Affronter directement le Seigneur serai du suicide. Ils vont d'abord tenter de nous mettre en pièce pour affaiblir notre force globale.*

Sid frappa de rage la table en voyant tout ce qui se passait. Tout le monde le regarda avec inquiétude.

"Je veux une communication Zêta avec la Générale Yllia. MAINTENANT !"

Un transmetteur lui donna un combiné avec la communication des urgences.

"Générale Yllia?"

"Que me vaut ton appelle si peu appréciable en ce moment? J'ai des choses à faire !"

"La ferme ! Je veux un appuis immédiat du bombardier Numéro sur les coordonné de l'axe 44 !"

"Il n'en n'était pas..."

"C'EST UN ORDRE !!"

La coupure brusque de la communication ne déplaisa pas à Yllia. Quand Sid était de cette humeur elle craquait presque d'amour. Mais elle se reprit et ordonna la mise en route du bombarider Numéro sur les coordonnées. Elle se mit en relation avec les troupes aériennes pour fournir une escorte de seize Drake presque une flotte d'attaque d'objectif vital. Elle y mit les pire qu'elle avait en tête. Les Numéro 7 avec les Numéro 3 pour donner un peu de chaos visible mais aussi les Numéro T ceux là aller mettre en pièce nombre de combattant avant qu'on comprenne toute l'horreur que c'était. Dommage que les Némésis ne soyent pas prêt. Ils auraient été les Numéros parfait pour cette opération.


Axe 43

Le lieutenant Olivier avança dans le quartier où plus aucuns défenseurs ne se trouvaient. Ces derniers avaient céder suite aux nombreuses frappes de l'escadron Damoclès qui se coordonna comme par habitude avec les manoeuvres du lieutenant Olivier. Les quartiers des affaires étaient à feux et à sangs. LEs soldats remplissaient les chariots et emportaient ce qui ne pouvait être mit dedans.

"Mon lieutenant?"

"Astig. Tu tombe bien mon garçon. Je te présente Nathalie. Mon aide de camp. Je voudrais que tu rejoignes mon unité de commandement. J'ai perdu mon tireur dans la bataille et j'en ai besoin d'un autre immédiatement. Qu'en penses-tu?"

Astig ne se le fit pas dire deux fois. Il accepta. Car il aurait 1% total du butin du lieutenant, il serait totalement indépendant répondant aux ordres seuls du lieutenant et il aurait une nouvelle promotion.
Il se retourna avec joie mais la voix de Nathalie lui dit :

"Pour avoir confirmation il faudrait que votre ancien chef de section soi mort au combat. Ce n'est pas le cas.

"Ah bon ?! Eh bien ça va s'arranger, mon lieutenant. Je vais le chercher mais je crains le pire."

Il allait lui mettre une balle en plein ceur à ce gros lourdaux de crétin de Ric, son chef de section !

Axe des chantiers

Le transmetteur reçu le message et s'élança à travers le champ de bataille. Plusieurs projectiles volèrent en sa direction. Il s'arrêta pour laisser passer une tête prioritaire, puis se coucha derrière un pan de mur effondré quand un soldat de l'Innommable passa par dessus une épée dans le ventre. Il se redressa avant de prendre une fléche dans le bras l'envoyant rouler sur le sol. Serrant les dents, il se releva en soufflant comme un boeuf. Il titubait plus qu'il ne courait avant de s'adosser à un angle de mur où trois soldats portaient secours à un autre blessé. Il se relança dans la rue chaotique et arriva non loin de la Commandante qui arracha la pompe d'adam à un défenseur avant d'abattre deux autres en vidant son chargeur en automatique.

"Comm... Co..."

"Je prends"

Aya lui arracha le combiné et écouta. La voix lui fit son rapport. Aya rechargea en même temps quand un défenseur chargea en hurlant. Elle sauta et posa lourdement ses cuisses sur les épaules de ce dernier. D'un coup sec elle fit une pirouette sur la gauche ce qui fit faire un angle étrange au cou du défenseur. Elle retourna sur le sol laissant le corps tomber par terre.

"Je vais le dire. Retourne à ton poste."

Elle se détourna et le transmetteur souffla quand une fléche vint lui traverser le crâne et ne sut jamais ce qu'il allait faire à la suite de cet ordre de Aya.
Aya approcha de son Seigneur qui attendait au milieu de ce chaos les bras croisés ignorant tout ce qui lui tombait dessus. Les corps sur les qu'elles il se trouvait confirmé ce qu'il avait fait : un massacre.
Aya rendit compte de la situation. Dakata se tourna subitemment vers elle.

"Si ces imbéciles se trouvent là-bas alors on applique le code."

"Et les chantiers?"

Dakata regarda vers ces derniers avant de se détourner sans plus de cérémonie.

"Repli. Maintenant. Code Ciel."

"A vos ordres. Code Ciel ! Je répéte ! CODE CIEL !!"

Les soldats rompirent le contact subitemment laissant les défenseurs dans une confusion totale. La violence de l'attaque ammener le calme immédiat ce qui faisait une étrange chanson dans la tête des gens.

Seul l'axe vers les chantiers se repliaient alors que els autres les combats et le pillages faisaient rages. Dakata disparut dans un nuage de particule laissant ses Coeurs Noirs aux commandes qui ne cachèrent pas leurs duretés.


Les airs

Le Bombardier Numéro décolla avec lourdeur alors que l'escorte venait en formation autour de ce dernier. Le bombardier n'eut guère de chemin à faire pour arriver à destination pour ouvrir ses soutes. L'artilleur lâcha une prière aux âmes des autres en bas et tira son chargement sur l'objectif.


L'axe 44

Un lourd contenaire s'écrasa sur le sol et s'ouvrit avec violence. Un ronronnement gutturale en sortie et les Numéros T en surgrirent avec agilité pour se jetter droit sur les défenseurs n'ayant pas encore concencience de leurs présences.
Les défenseurs virent un contenaire s'écraser dans un batiment. Il eut des cris d'horreur et les attaquants fuirent droit sur les défenseurs en hurlant "Ils l'on fait !" ; "NOn !! NOOONNN!!!" ; "C'est pas vrai ! C'est pas vrai !"
Puis ILS arrivèrent. Les Numéros 3 surgirent comme un seul homme vers les attaquants qu'ils mirent en pièces avant de s'arrêter pour regarder autour d'eux.
Des cornes de taureau, une armure de chitine renforcé de plaque de fer, des mains squelletiques, un masque à gaz sur le visage, une robe tombant aux genoux de couleurs mauve, un double fendoir entre les mains et... un gaz couleur chair les suivants. Puis ils se tournèrent vers les défenseurs et chargèrent sans plus de cérémonie pour les tuer au corps à corps se fichant de toutes blessures ou coups reçu. Ils avançaient en rampant s'ils le pouvaient et frappaient ou griffaient pour blesser tout défenseur et attaquant à porté.
Les Numéros 7 étaient en action aussi mais étant plus intelligent et plus discret que les nombreux Numéros 3 ils étaient pour le moment invisible. LEs Numéros T taillaient en pièce les défenseurs par le flanc. Ils ressemblaient à des tigres crossaient avec un rhinocéros pour la taille et la sihlouette, mais ayant les muscles à nue, une crête métallique et des crocs mettalique dégoulinant de poison et une langue à rallonge en forme de tête de masse aiguisé comme une lame de rasoir.


Extérieur

Marine braqua la moto brusquement. Il était là ! Le fumier était rapide ! Rongar loupa d'une tête la brêche de son tir quand il frappa le véhicule ce qui les envoya rouler dans la poussière. Rongar se redressa pour dégainer ses armes et les croisa pour stopper une lourde lame à bras. Le camouflage cessa et il apparut.
Un corps qui se croisait entre un animal et un homme aux muscles violacés, des jambes de cheval, une queue de diable barbelé, des bras d'un misteur univers abusant des stéroïdes avec des barcelets rouillés en barbelés, une lame sur le bras gauche, des mains en forme de serre avec des griffes fines et solide, un cou court et musclé puvant supporter les pires chocs et un visage allongé presque rectangulaire, une plaque de faire lise lui recouvrant le haut de la tête ainsi que ses yeux, une mâchoir de cauchemard croisement entre un requin blancs et celui d'un T-rex et une langue de serpent fourchue.

"Tu es plus laid que l'on m'avait décrit de toi... Sin."

La créature rugit de rage et repoussa Rongar avec une rare violence. Sin alias Numéro 3 avait bien changé depuis toutes ses années.

"Tu ne nous laisse pas le choix, Sin. On est venu te chercher."

Marine arriva dans un rugissement de moteur et frappe d'un revers de botte qui envoya reculer d'un mètre Sin qui s'élança vers Marine avant de lui bondir dessus. Trois coups de feux cloua Sin au sol. Ce dernier rendu fou furieux disparut et se jetta sur Rongar qui l'esquiva de justesse mais son manteau y passa.
Marine tendit la main et Rongar l'attrapa au vol pour éviter une fois encore les griffes de Sin qui lui arracha un morceau de pantalon et le blessa. MArine mit les gaz droit sur le port.
La créature avait le sang de sa victime. Il allait la poursuivre et la dévorer vivante comme l'autre. Ca sera si doux. Si... Si vivifiant ! La créature s'élança sans hésitation. LEs tuer ! OOOhhhh oui !! Les tuer !

Saiko écoutait avec attention les instructions de la reine. Elle sentait la tension chez celle-ci, mais aussi l'incompréhension du petit Shiro. Elle savait l'effet que ça aurait sur le petit, il serait désespéré, anéanti, pendant un moment du moins... Elle serra Shiro contre elle et des larmes montèrent en entendant les plaintes du bambin. Tout doucement elle flatta la tête de l'enfant et commença à chanter, un chant ancien, dans une autre langue qui parlait du courage des femmes et des enfants restés en arrière attendant avec appréhension le retour de leurs guerriers. Sa voix était douce et apaisante, elle essayait de calmer le petit. Lorsqu'elle s'arrêta, elle fixa Shiro les yeux embués.

"Tu sais, depuis longtemps la guerre existe, le plus souvent ce sont pour des raisons futiles. Les humains sentent le besoin de se battre et de prouver leur valeur au combat. Pourtant, les femmes souvent se retiennent d'y aller par peur de laisser leurs enfants seuls. Ta mère m'a choisi pour te tenir compagnie le temps que les combats fusent dehors. Ce qui veut non pas qu'elle t'a abandonner et qu'elle ne t'aime plus, mais qu'elle veut absolument que tu sois en sécurité... En plus, ta maman est la reine, ce qui veut dire que c'est encore plus dangereux pour toi, tu es son enfant et la cible de ses ennemis. Si on est ici, seuls, c'est que ta maman sait que cet endroit est le plus sécuritaire et que je suis une personne de confiance. Si je t'avais amener dans le temple de la terre, mes frères auraient pu y accéder. Ici, personne ne peut venir. Je le sens, la pierre me parle."

Elle sentait la pierre vibrer d'une énergie intense. Si jamais quoique ce soit arrivait, Saiko pourrait puiser dans cette énergie pour protéger le petit. Elle ne pouvait pas vraiment contrôler la pièce à part puiser dans cette énergie. Ici, son armure était inutile, elle la transforma donc en robe, après tout elle contrôlait la matière, brune simple, légère. Elle se retourna vers Shirosaki, un sourire paisible aux lèvres.

"Bon, alors qu'est-ce que sa majesté veut faire? Une autre chanson, une histoire, un jeu ou un secret?"

Elle voulait absolument le distraire de la séparation avec sa mère le plus longtemps possible et aussi le former un peu. Peu importe ce qu'il allait choisir, ça allait apporter un peu de connaissance à ce petit brin d'homme.

Haine était recouvert de sang, un pur bonheur… Il ne s’était jamais autant amusé depuis des années, à chaque membre qu’il arrachait, à chaque vie perdue, il riait un peu plus… L’innommable lui offrait un véritable parc d’amusement, c’était gentil de sa part. Par contre les jouets avait des petits fusils et ils lui tiraient dessus… dommage, il se dissimula rapidement, puis voyant la panique devenir encore plus grande… il fronça les sourcils et s’élança de nouveau dans la foule.

- C’est qui le prochain? Toi?!

Sa voix n’avait pas retrouvé son « humanité » et son sourire était encore plus démentiel… Il agrippa l’homme par la gorge et le transperça littéralement au niveau du cœur avec son autre main… L’albinos sortit sa main gardant un instant le cœur encore battant de sa victime entre ses doigts. Il laissa l’homme tomber au sol, ainsi que le cœur et planta le bout de son katana dans celui-ci. Il leva alors les yeux vers les créatures que l’on venait d’envoyer, intéressant. Le jeune homme leva la tête vers le ciel et hurla comme un chien à la lune, il n’allait pas laisser ses choses l’importuner etencore moins toucher SA Malyssia!

D’une main experte, il sortit son fusil jamais trop prudent. Haine s’élança donc dans le tas frappant tout ce qui bougeait un peu trop à son goût, il se foutait totalement des coups reçu, pourvu qu’il puisse en massacrer le plus possible. De l’écume sortait à présent de sa bouche, il n’entendait plus rien, tout ce qui était important c’était de massacrer!

- Korosu!!!

Tout à coup, il délaissa ces choses étranges, rangea ses armes et se dirigea vers le port… Il courait exactement à la façon d’un chien, l’écume sortait de plus en plus de sa bouche. Il évitait agilement tous les obstacles, il se rapprochait rapidement de son objectif : Dakata…

Ça y était il commençait à voir son imposante silhouette…

Malyssia laissa quelque instant a son aura pour s'élargir... La jeune femme s'élança sous le regard des ses hommes qui partait dans le sens inverse. Maintenant fallait vérifier qu'il ne venait pas pour lui... Cherchant son mari du regard, elle ne perdit pas beaucoup de temps. Loin de lui elle voyait des membres de tout bord et tout côté. Le regard triste elle continua a avancé... Lorsqu'elle le retrouva, elle ne le reconnut pas... La tyranne se laissait un jeu de distance entre eux deux...
à peine le temps de pensées qu'il faudrait qu'elle avance un peu plus elle remarqua des ombres inhabituel...

"Putain de merde... Qu'est qui peu me faire chier celui la!"

Un sourire en coin elle savait fortement ce qu'elle avait a faire. Continuant de courir vers l'endroit qu'elle voulait atteindre, elle récita a haute voix quelque mots en elfique plus ancien que le monde. Malyssia dut se concentrer sur ses propres paroles, écoutant en même temps ce que Saiko disait a son fils... Espérant que celui-ci fasse le bon choix, mais Saiko encore plus.
Les paroles de la jeune femme s'arrêtèrent, elle en fit de même et regarda le résultat avec délectation.

"Tu pensait vraiment m'avoir avec des merdes..."

Les ailes des drakes qu'avait emmener se petit con brulait et emmenait les drakes dans leur morte lente et souffrante. Dakata n'avait surement pas mit en évidence le fait qu'elle connaissait mieux que qui qu'on que la magie...
Lorsqu'elle se tourna elle vit Haine, toujours plein de sang et le regard ... Pas comme d'habitude... Elle regarda dans la même direction que lui et vit ce qu'il voyait... Dakata...

"K'so..."

Trop dangereux avec tout ces petits cons dans le coins qui le défendait... Elle au moins savait se défendre seule et ne mettait le vie de personne en danger. Malyssia roula des yeux et se dirigea vers le troupeau de soldats de Dakata. C'était a son tour de se faire un peu du bien. Dans un élan de violence, elle ouvrit le ventre d'un soldat avec ses ongles. Avec exaltation elle le regarda se plaindre et mourir.
Malyssia fit plusieurs morts ainsi, tous aussi brutale. Quand elle en eut assez, elle pensa a aller vers un peu plus haut, pour l'affaiblir... Un cœur noir...

Un saut arrière la fit arriver sur un toit, elle alla dons la direction inverse... Les soldats de Dakata avait des armes a feu... Ce qui ne l'arrangeait pas du tout, elle en reçut une dans l'épaule, le délogea et le renvoya... Elle ne pouvait pas refermer tout de suite la plaie... Par chance pour elle, la douleur ne le dérangeait pas encore. Elle continua jusqu'à une tête qu'elle reconnaissait très bien par les propos haineux de sa meilleure amie.
Aya était a sa porter... Elle ne pourrait pas partir d'ici vivante... En aucun cas...

Le petit se sentait agiter, les explications de Saiko sur se qui se passait, du moins ce qu'il pouvait comprendre completement, lui donnait une vision plutôt apocalyptique de la chose. Dehors, il y avait plein de danger mais... est-ce que cette pièce était vraiment sûr ? Sa maman avait dit qu'elle l'était, il devait donc la croire mais... elle était partie dans le danger et... il se sentait un peu perdu dans tout ça. Le bébé avait préférer entendre Saiko chanter, sa voix était calmante mais que dans ces moments là. Son sérieux lui faisait peur.

- Je...

Shiro aurait voulu entendre un secret, que par curiosité il aurait bu jusqu'au dernier mot, sauf que sa maman pouvait tout entendre. Et que serait un secret si elle aussi savait ? Il aurait voulu écouter une chanson et que la douce voix de Saiko le berce, mais il ne voulait pas s'endormir, pour ne pas perdre le fil du temps. Il hésitait donc entre écouter une histoire et jouer a un jeu. Il n'avait encore jamais fait de jeu avec quelqu'un d'autre.

- Je... je veux jouer... ou écouter une histoire... je sais pas...

Le petit fixait de ses grand yeux ambré sombre son amie, une lueur un peu confuse au fond de ceux-ci. Il pensait à ses mots... sur sa maman qui était à l'exterieur, à SA Malyssia. Son ventre gargouilla.

- J'ai faim...

Il n'avait pas eu le temps de ''manger'' aujourd'hui et ils étaient coincés dans cette pièce.

Axe 44

Malgré leurs efforts, les troupes régulières de Dakata perdaient du terrain face aux complexes tactiques que mettaient en marche le commandant des défenses de Yan.

"Général Sid ! Je demande un soutiens de Drake immédiat je..."

"Ils arrivent sombre crétin !"

La voix du Général le surpris. Il se retourna et le vit en personne. Le Lieutenant se redressa et salua rapidement.

"Je suis au courant. J'ai pris la liberté de venir vous dégager de là personnellement Lieutenant. D'ailleurs. Si vous sortez d'ici vivant vous devrez prendre le grade de Capitaine de Compagnie. Le votre et mort lors du passage de Malyssia."

Le Lieutenant soupira en pensant qu'il l'avait sans doute échappé belle. Maintenant il allait faire en sorte de sortir ses hommes de ce merdier et de les emmener sur les navettes d'évacuations qui arriveraient sous peu.
Sid regarda les Drakes approchaient avec une célérité réchauffant son coeur. S'il alliait la puissance de feu aérienne avec sa garde personnelle ensemble ils gagneraient le temps d'évacuer cet axe pour le condamné avec l'Abandon et ses canons.
Soudain, les Drakes s'enflammèrent pour aller s'écraser un peu partout dans un déluge apocalyptique de fer et de carburant ainsi que de béton. Il ne comprenait pas ce qui se passait. Mais là c'était la catastrophe. Sans l'appui de ces Drakes s'en été fini de la contre attaque. Il fallait rapidement changer les plans.

"Lieutenant ! Je veux quatre armes lourdes dans les deux minutes qui suivent. Transmetteur ! Je veux un appuie immédiat de l'Abandon sur les coordonnées de l'axe 44 sur le point 44/876552.044Alpha/770.453 !"

Le lieutenant hurla qu'on lui apporte toutes les armes d'appuis à disposition sur sa position. C'est en ralant et pestant que sept armes lourdes vinrent : deux mitrailleuses lourdes, un canon laser haute densité, un lance missile léger et trois gantelines. Sid distribua les emplacements avant que sa voix ne soit couverte par de puissantes explosions : l'Abandon ne perdait pas de temps à tirer mais ce barrage n'allait durer que quinze secondes tout au plus car l'énergie de l'héliport était concentré sur le combat pour débarquer et rembarquer les unités qui n'avaient pas reçu d'ordre de repli.


Axe 43

LEs navettes étaient pleines et déjà les troupes de Dakata rassemblaient les prisonniers pour les emmener. Certaines maisons résonnaient de cris et de gargouilles de gens. LE Lieutenant Olivier regarda ce qui se passait avec cet air blasé habituel.

"Je veux que l'on m'informe de la situation sur les autres Axes."

"En ce moment le Général Sid et partit en personne pour s'occuper d'une affaire urgente. Le Seigneur Dakata semble être au prise avec Malyssia ainsi que le Coeur Noir Aya et Murielle. Le Coeur Noir Julus se dirige en ce moment vers le poste de commandement pour diriger les opérations. L'Abandon fait actuellement feu sur des positions stratégiques."

"Très bien Nathalie. Donc si nous n'avons pas d'ordres, nous évacuons le port."

"Nous pourrions apporter notre soutiens aux autres mon lieutenant."

"Je crains que le Seigneur Dakata ne le voudrait pas. De plus nous ne rentrons pas sur l'Abandon mais directement à Saillonne. Donne les ordres Nathalie je te prie."

"A vos ordres."

Elle s'envola doucement avant d'attérir plus bas. Olivier regardait de loin les combats avec un oeil vigilant. L'endroit était calme ici, mais là bas l'enfer commençait à approcher et... Qu'est ce que c'était?
Il voyait une machin à deux roues des plus insolite. Dessus était monté Rongar et Marine qui semblaient en découdre avec une créature des plus étranges. La mission des Coeurs Noirs étaient sans doute secrète et les aider ne pourrait pas forcément arranger les choses.


Axe des Chantiers

Haine se jeta comme un chien sur Dakata qui ne bougea pas le moins du monde et sauta le bond de charge de Haine sans décroiser ses bras massives de son torse. Ce dernier était suspendu dans les airs s'agitant en tout sens sans pouvoir faire quoi que se soit. Puis Dakata vit Malyssia passer dans son champ de vision. Il savait que cette idiote allait voler au secours de ses hommes pensant que son mari suffirait amplement à l'occuper.

"La mort pour vous autre mortel et traumatisante, n'est ce pas? Il est normal de ne plus rien comprendre quand on meurt et qu'on revienne à la vie, mortel. Tu es présomptueux, petit mortel. Tu veux m'affronter alors que tu n'es plus que l'ombre de toi même. Tu refuses toute l'évidence, petit mortel. Quand tu ne supporteras plus ta condition, petit mortel, alors vient me voir. Tu pourras alors trouver ta vraie place en ce monde. Maintenant disparait ! J'ai autre chose à faire que te faire apprendre, petit mortel."


Il se détourna de Haine gigotant qui fut propulser par une force invisible à travers trois bâtiments pour finir dans le salon du quatrième où les corps des combattants gisaient morts autour de lui.
Aya organisait la retraite avec bon ordre quand elle sentit son armure lui indiquer un danger. Elle se retourna de justesse pour voir la lame d'un Katana lui érafler la la joue. D'un bond elle se mit hors de portée et dégaina mais de nouveau le katana était sur elle ce qui l'obligea à sacrifier son arme pour bloquer le coup, mais attrapa le poignet de Malyssia fermement. Les deux femmes étaient nez à nez rendant le tir impossible pour tout les soldats aux alentours qui prirent positions en criant. Aya et Malyssia mesuraient toutes les deux leurs forces respectives avant de rompre le contact mais les tirs ne fusèrent pas ce qui étonna Aya qui resta concentrer sur son adversaire. Elle délaissa son arme pour activer toutes les fonctions de son armure qui ronronna en produisant un puissant éclat vert pâle. Aya chargea sans plus de cérémonie sur Malyssia enchainant les coups de poings que son ennemie parait avec son katana. Le poing de Aya rencontra le sol qui se mit à se fissurer avant de partir dans un effondrement colossale, elle ne réagit pas assez vite et reçu un coup sur le dos mais son armure la protégea.

Dakata était apparu et interdit le tir de soutient à Aya. Il voulait voir ce que compter faire cette petite mortelle. Tuer Aya serait la pire des solutions pour Sakura et il ne serait pas question de ça ici. Il interviendrait au dernier moment pour secourir Aya qui sera forcément en difficulté un moment ou autre car elle ne pouvait gagner en se battant de cette manière et juste avec la rage.

Aya loupa encore une fois sa cible et ce fut le mur du batiment qui en souffrit. Relativement essoufflée, elle pestait devant le manque de combativité de son adversaire. Elle frappait durement mais Malyssia esquivait de justesse, presque en le faisant exprès, avant de frapper en retour. Jusqu'à présent son armure l'avait protéger mais à ce train là elle allait mourir et cela n'était pas acceptable pour le moment ! Elle n'avait pas encore saisie la chance que son Seigneur lui avait donné et elle était sur le point de comprendre sa place dans ce monde !
Aya chargea, poing serré, en criant de rage et de haine !


Ailleurs

Rongar s'accrocha fermement à la taille de Marine et se rendit compte de quelque chose. Mais le décolla de Marine le fit oublier et se concentra sur l'impact i minant de la moto sur le sol. Les roues rebondirent durement sur le toit d'une chapelle et c'est en hurlant qu'elles poussèrent la ferraille et ses occupants plus loin. Sin arriva juste derrière mais celui-ci traversa le toit dans un hurlement de rage mélangeant une sirène de bateau avec celui d'un cochon qu'on égorge. La moto alla à tombeau ouvert dans les rues assez étroites ce qui n'empêchaient pas à Marine à jouer en se cognant contre les murs, roulant dessus et passant même à travers certains batiments pour éviter de justesse les griffes de Sin qui se rapprochaient un peu plus à chaque fois.
Rongar regarda par dessus son épaule et vit Sin bondit droit sur eux. Il sauta replié sur lui même et laissa une main accroché à l'épaule de Marine. Il se détendit comme un ressort faisant rencontrer ses pieds droit dans la plaque de fer lisse de Sin qui ne fut que tout juste dévié. Il se cogna lourdement dans un mur qu'il traversa. Rongar resta debout sur le siège quand il sentit la main de Marine sur la sienne. Ce n'était pas le moment. Sin surgit d'un porte juste à côté d'eux. Il agrippa la moto qui fit une embardai mais l'agilité de Marine la maintenue sur place. Il dut dégaina un long couteau et frappa la main qui tenait le côté de la moto. La créature creusait un long sillon sur le sol mais ne lâchait rien. S'il n'y avait pas ces maisons sur le côté il ferait monter son autre main et... ARG !! Il lâcha tant la douleur était subite et intense. Il finit sa course dans une série de roulé boulé et regarda sa main : un coteau avec lame rotative lui était planté dedans. Rongar... Ce... Sale... Fumier !! Il ne prit pas la peine de retirer la lame et repartit de plus belle vers ces proies. Ils allaient avoir une surprise et il disparut naturellement sans ralentir l'allure.

"Il est tombé dans le piège?"

Rongar fit oui de la tête mais ne savait pas vraiment mais en déduisait que oui puisqu'il ne le voyait plus.

L'indécision de l'enfant ne pouvais pas être réglé par Saiko, car pour elle aussi les deux options étaient équivalentes. Pour elle, de l'histoire et du jeu, les deux avaient la même valeur éducative. Elle réfléchissait à ce qu'elle pourrait bien sortir. De sjeux qu'elle avait vu naître, des jeux qu'elle avait inventé, des histoires qu'elle connaissait ou des histoires qu'elle avait vu de ses propres yeux. Après tout, elle n'était pas observatrice du temps pour rien et elle était vieille, extrêmement vieille, même s,il n'y paraissait rien. Elle était tellement absorbée par ses pensées qu'elle en avait presque oublié la bataille qui faisait rage au dehors. Cependant, il se trouve toujours quelque chose pour vous rappeler à la réalité... Son frère souffrait. Un opposant le supplantait et son corps physique allait bientôt mourir. Elle sentait ses souffrances, moins intensément que lui, mais elle les sentait tout de même. Des larmes perlaient ses deux yeux, mais c'était le fardeau à payer pour participer à l'histoire, leur fardeau s'ils intégraient ce qu'ils devaient observer. Le fardeau que leurs ancêtres avaient payé. Elle avait trouvé ce qu'elle allait faire. Elle allait raconter l'histoire de ses ancêtres, les femmes qui les avaient précédés. Après tout, ce n'est pas pour rien que la déesse de la terre est représenté par une femme : toute les élémentales de la terre étaient de femmes avant eux... Saufs qu'ils sont un cas particulier : ce sont des triplets.

Saiko s'assied par terre, et fixa l'enfant des yeux. Elle allait parler, mais devait être attentive aux besoins de l'enfant avant tout.

"Shiro, je vais te raconter une histoire. Elle est très longue et nécessite une attention particulière, alors installe-toi confortablement. Alors... Il y a longtemps, quand la terre était jeune et qu'elle venait à peine de se former, la vie n'existait pas encore. La terre pourtant se sentait seule, très seule, elle décida donc de se créer une compagne. Elle forgea cette compagne de ses entrailles et lui donna toute sa puissance. Au début, ce fut une enfant, elle appris tout de la terre. Ses moindres recoins étaient connus de l'enfant. Pourtant cette enfant commençait à s'ennuyer, elle avait appris tout ce qui se pouvait de la terre. Elle pouvait soulever des pans entiers de terre, faire secouer celle-ci, la fendre, créer de petite réplique d'elle-même ou toutes sortes de trucs, mais elle en avait fait le tour. Elle pouvait changer d'apparence à volonté, le seul point commun à toute ses formes, c'était une pierre à sa poitrine, la pierre renfermait son esprit. Cependant, même changer d'apparence devenait fade à ses yeux. Elle demanda à sa mère de lui créer un compagnon ou une compagne. La terre refusa explicitement, alors la fille se tourna vers l'air, qui accepta de faire un enfant. Les deux enfant s'entendaient bien, mais un jour les notes de la discorde se firent entendre. La jeune fille pria l'air de faire une soeur à son ancien ami, pourtant l'air refusa. La jeune vint alors vers l'eau qui créa une fille. Le fils de l'air trouva cela injuste et s'en alla retrouver l'esprit du feu afin d'avoir lui aussi un compagnon. Ainsi naquit les quatre premiers élémentaux. Ceux-ci purent avec leurs forces conjointes créer la vie tel que nous la connaissons : avec des plantes, des animaux, des elfes, des humains et toutes cette panoplie d'êtres grouillants, fourmillants, glissants, poussant, hurlants, vivants. Pourtant, ce n'est pas là que notre histoire s'arrête... Au contraire, ce n'en est que le début... Ils devinrent les créateurs de notre monde et lui insufla un souffle de vie. Ils furent considéré comme des dieux. La première élémentale, celle de la terre, était mon ancêtre. Elle arborait sur sa poitrine une pierre comme la mienne... Elle vivait libre et sans contraintes, fière de son rang. Pourtant elle ne se mêlait aucunement aux autres peuples, elle restait solitaire. La déesse sauvage, c'est comme ça qu'on l'apellait. Elle n'utilisait jamais ses pouvoirs, sauf dnas des cas particuliers." (au prochain : la suite sera dans un autre poste : c'est trop long pour un seul)

L’albinos fut sonné pendant un instant, il faut dire qu’il n’était pas très habitué à traverser des bâtiments de cette façon. Il secoua la tête, puis se releva en gémissant. Il avait l’épaule droite disloqué, mais ne s’en formalisa pas, il la remit simplement en place dans un bruit plus que dégoutant. Une fois la petite intervention fait, Haine regarda autour de lui, il pouvait dire que
contrairement à ceux qui l’entouraient il était plutôt chanceux…

- Korosu… KOROSU !

L’innommable l’avait peut-être éloigné après son long discours où il disait six fois mortel, mais cela ne l’empêcherait pas de revenir encore et encore. Ce fut donc après s’être un peu étiré qu’il s’élança de nouveau sur le champ de bataille. Le jeune homme repéra l’odeur de Malyssia et se dirigea rapidement vers elle. Il sentait que quelque chose tournerait mal et il ne laisserait pas cela arriver.

- Maly-chan…

Les images de la veille lui revinrent, et ce fut suffisant pour accéléré considérablement son rythme. Son apparition entre les deux femmes fut donc assez étrange. Il bloqua la charge de la menace et émit un grognement qui sembla un moment sortir d’outre tombe.

- ON NE TOUCHE PAS À MA MALY-CHAN !

Sa voix avait reprit un peu de son humanité, mais il restait toujours cette rage incontrôlée. Il s’apprêtait à mordre lorsque son regard se posa sur la tyranne… Elle semblait en colère de le voir s’en mêler, mais ce n’était que pour son bien… Ce moment d’inattention suffis largement à lui faire entendre quelques cloches, mais pas assez pour le mettre K.O. Haine secoua de nouveau la tête, semblant avoir retrouvé ses esprits… malheureusement ce n’était pas le cas…

Un peu plus loin sur le champ de bataille… des empruntes de chien se dessinèrent dans le sol, et
quelques algues les accompagnèrent… La direction : le château…

Haine fut propulser... Elle serra les dents et frappa Aya... Celle-ci esquissa de justesse. La pauvre idiote commençait doucement a perdre de ses forces, qu'elle chance... Malyssia continua doucement son manège avec la pauvre qui s'assombrissait de plus en plus... Le cri de rage qu'elle poussa la réjouit, vraiment elle était bonne pour pousser a bout tout le monde et sa la rendait vraiment heureuse. Lorsqu'elle vint pour prendre le point que Aya lui envoya... Quelque chose la bloqua... Haine.
Malyssia bouillonnait de rage, elle voulait avoir la pauvre sotte devant elle. Mais il ne semblait pas comprendre... Quelque instant elle écouta ce que Saiko disait a son fils, mais retourna rapidement a ce qui se passait autours d'elle... D'ailleur la présence ... De celle qu'elle croyait partie lui vint, mais qu'est qui se passait? Elle réspira profondément et empogna le poignet de Aya.

"Haine... Je me la garde..."

*Je t'aime... *

Malyssia donna un coup sec sur le poignet de la pauvre idiote et le cassa.

"Souffre pauvre gourde!"

Malyssia ne remarqua pas vraiment si Haine faisait quelque chose d'autre, mais elle remarqua que ce pauvre Dakata avait bouger. Alors il tenait a cette pauvre imbécile? Alors il allait la perdre! Aya part terre ne réagisait pas beaucoup, vut le coup puissant que Malyssia lui avait envoyé dans les côtes c'était très normale... La tyranne vint pour la frappé de nouveau mais elle retenu son pied. Le rire de Malyssia fit un écho...

"Ne pense pas que tu peu me dépassé... Tu n'est qu'une sale coeurs noires!!!"

Elle regarda Dakata avec un sourire triomphant. Il pourrait être assez près pour en voir au moins une mourire! Aya essaya de se débattre, la pauvre pensait surement que son temps n'était pas fini. Pourtant elle se trompait.

"Meurt avec dignité au moin pauvre cloche! De toute facon personne ne te pleureras!"

Rapidement Malyssia prit son poignard et le tourna dans sa main. Un coup sec et rapide lui vallu la vie. Ne sachant pas à comment de pas était ce cher Dakata elle se leva et se tourna vers son mari ...

Le bébé Shiro écoutait l'histoire de sa Onne-chan, au début plutôt agité vu que le dilemne de suivre son envie de manger ou pas le tracassait un peu. Il aimait beaucoup Saiko-chan, sa compagnie l'apaissait, mais il n'y avait rien d'autre pour le nourir... Au bout d'un moment, il arrêta d'y penser, emportant par les paroles de l'élémentaire. Il avait soif, tant de mot différent, tant d'image qui se créeait dans son imaginaire, tant de beauté qui lui rapellait qu'il était enfermé, tant d'amitié qui lui rapelait sa seule ami, tant de nouveauté, tant de connaissance. C'était de ça qu'il avait soif, d'apprendre. Il se sentait si ignorant face à cette observatrice.

- La pierre se mange ?

Le petit hollow, tête incliné et grands yeux dorés ternes, fixait Saiko. Il avait faim, très faim, mais s'il mangeait son amie, il se retrouverait tout seul et en plus, il ne saurait pas la suite de l'histoire ! Humm... mais une fois sorti, il y avait aussi Kusa-chan, donc il ne serait pas seul... Il pourrait donc attendre la suite de l'histoire avant de se rassasié ! Pour lui, c'était une bonne idée. Il avait deux soif et toute deux seraient comblés. Le meilleur des deux mondes. Et après, il ferait quoi ? Hum... après serait après.

- Après... il lui est arriver quoi a l'élémentaire ?

Axe des chantiers

Dakata regarda le corps de Aya sur le sol et se dit que cette mortelle, malgré ses pouvoirs et toute ses connaissances, oubliait un peu vite que l'être Humain par excellence était l'être le plus fragile et le plus éphémére mais qui brillait d'un éclat que nul ne pouvait égaler et c'était d'autant plus vrai quand leur destin s'accomplissait.

A ses yeux il voyait des étoiles dans ces ténèbres qui accomplissaient leurs destinées surtout ce qui était aux pieds de Malyssia.
Soudain, une explosion surgit non loin et c'est à travers ce nuage de poussière que Murielle surgit l'arme brandit vers Haine qui la repoussa en deux coups, un blocage et une autre pour repousser. La petite vola contre le mur de la maison la plus proche et s'y enfonça loudement dedans.

*Je... N'ai jamais vue ça... C'est qui... ce... Type?*

Elle essuya le sang qui coulait de la commisure de ses lèvres et se remit sur pied. Dakata était là entrain de regarder se faire tuer Aya sans réagir et c'était donc à elle de faire que cela ne se produise pas. Elle leva son épée et l'abattit sur un ennemi imaginaire ce qui fit faire feu à tout les soldats. A sa surprise, personne ne tira. Elle regarda sans comprendre les gens autour d'elle avant de réaliser :

"Pleutre ! Je vais me les embrocher moi même, hihihi !"

Elle chargea de nouveau mais fut de nouveau repousser et Haine lui écrasa la tête dans le sol en appuyant avec son pied. Murielle était entrain de cauchemarder. Elle ne connaissait personne, dans les dosisers qu'elle avait lu, un soldat pouvant faire ça ! Elle essaya de repousser le pied mais en vain.

"Pauvre mortelle ! Tu penses que je suis venu pour toi ou ton faible mari ou bien pour ton rejeton? Tu es stupide, mortelle ! Je ne suis là que pour te détourner ton attention. Comme d'habitude tu fonces droit dans les pièges que je te tend ce démontre bien ta bêtise, mortelle, ainsi que ton incompétence à gérer des crises comme celle-ci ..."

LEs armes se braquèrent sur MAlyssia et Haine. Aux nombres de fusils et autres armes d'assauts et tirs cela serai impossible de sortir sans être blessé.

"Si tu avais gardé Aya en vie, je t'aurai laissé partir en échange de sa vie. MAis comme elle est morte, je n'ai plus besoin de marchander. Avant de mourir, mortelle, je peux te dire que ta chère amie, qui est l'être que je chérie le plus au monde, sera protéger du retour d'Aya. Je ne te demande pas de comprendre, tu en serai incapable de saisir la complexité. A moins que..."


Tête de Aya

*Pas... Question que ca se termine ainsi... J'ai... J'ai saisi pourquoi je... je LA haie !... C'est clair... Je... Vais... Lui dire... Mais il fait si froid... Si froid...*

"Si tu crois que je vais te laisser mourir tu te plantes !"

*La ... ferme julus... Laisse moi mourir... Sans t'entendre...*

"Ooooh mais tu vas m'entendre ma jolie. Et si tu te relèves pas tout de suite tu ne pourras pas acomplir ta destinée. Elle s'ouvre devant toi. Et toi... Toi tu décides d'abandonner à cause du froid?"



Axe 43

Ca se présentait mal pour eux ! Les défenseurs étaient taillés en pièces pour les Numéros mais eux aussi devait lutter contre ces mêmes Numéros ! Une idée de génie qui tourne au vinaigre et sans l'appuie de ces fichues Drakes c'est terminé pour ici. Il fallait tenir la position jusqu'à la navette d'évacuation. Le général rassemblait en personne les équipes et hommes dispercaient ici et là dans les ruines pour les rassembler en un même point pour faire face aux Numéros et aux Défenseurs qui semblaient venir chercher des poux là où il y en avait pas !
Le tir de barage de l'héliport s'était enfin arrêter et Sid pouvait penser avec plus de clarté. Il décapita un Numéro 3 avant de repousser son corps d'un revers de pied. Il devait encore gagner du temps pour laisser les secours arriver, si les secours venaient mais comment convaincre ce crâne d'oeuf au poste de commandement de le rammener lui et les autres? Car cet imbécile gagne sa place si jamais lui il meurt ici au milieu de ces ruines. Ce crâne d'oeuf aller lui prendre sa place avec délectation quitte à sacrifier deux cents soldats. Commetn faitre? Comment faire? Un problème à la fois. Déjà les défenses. Remettre les défenses en état avec munition, vivre et repos ainsi que les soins !


Ailleurs

Marine continua de jouer des hanches et à grands renforts de coups de guidons pour se frayer un passage dans les rues du port alors que Sin était totalement introuvable et n'attaquez plus chose étrange. Rongar était aux aguets regardant partout où il pouvait pour détecter la moindre attaque ou autre. LEs navettes du lieutenant Oliver leurs passèrent au dessus de la tête avec fracas alors qu'elles quittaient les lieux les soutes remplies de richesses pillaient. C'est ce qui sauva le couple. Marine avait quitté des yeux la route pour voir ce qui se passait au dessus d'elle et c'est là qu'elle aperçu Sin accroché sous la coque d'une navette et s'était servie de ça pour approcher au plus près. Elle braqua mais trop tard ! Sin tomba entre eux et une lutte s'engagea immédaitement. L'arme de Rongar rugit trois fois arrachant un cri de douleur et de rage à Sin qui essaya de le déchiqueter mais la lame courte de Marine lui perfora la cuisse le distrayant quand le poing de Rongar le frappa une première fois à la mâchoire. Il regarda de nouveau sa proie qui lui décrocha encore un autre coup avec plus de puissance, puis un autre, un autre et encore, et encore. Cela plaisait à Sin qui se mit à gigoter en tout sens demandant à Marine de faire des prouesses pour rester sur la route. Mais rien n'y fait. Sin resta solidement accroché et enfonça ses mains dans le dos de Rongar qui serra les dents de douleurs avant de prendre à deux mains le visage cauchemardesque de Sin qui se mit frétiller de sa lange fourchue quand le genoux de Rongar frappa sous son menton lui coinçant la langue entre ses dents. C'était une douleur comme il avait rarement goûté depuis son évasion. Il cracha son cri à quelques millimètres du visage de Rongar qui lui enfonça son bras dans sa gorge avant de le retirer mais il y laissa son manteau et une partie de son bras qui était en sang. Avant de dire ouf, la grenade dans sa gorge explosa sonnant complétement Sin qui avait un voile blanc dans sa vision avant que son crâne ne rencontre le sol et qu'il creuse un sillon sur plus de vingt mètres quand il sentit qu'on le redressait. Il se reprit est frappa instinctivement avec sa queue qui fut stopper. Il était encore trop sonné pour réagir assez rapidement et sa queue lui fut planté dans la poitrine. C'était une douleur insupportable qui le réveilla complétement. Il frappa en tout sens et fit finalement renverser la moto et ses occupants. Ils glissèrent ensemble sur plusieurs mètres avant de s'arrêter brutalement dans un mur.
Sin fut le premier debout quand une balle alla se loger droit dans sa plaque de fer où se trouvait ses yeux. Il balança la tête en arrière pour accuser le coup mais il se rendit compte de la diversion quand une boule de feu noire lui frappa les bras qu'il mit pour protéger son corps. Il traversa le mur et reçut presque tout le contenu sur lui. C'est en toussant et se tirant debout, que Rongar et Marine se remirent en route vers la côte. Ils n'étaient plus très loin et c'est là que tout aller se jouer. Encore un effort !


Poste de Commandement

Axel se frottait les mains d'avance. Sid était partie régler le problème et le laissait au commande. L'occasion était trop bel. Il organisa le rapatriment des troupes encore présent sur l'axe pour l'évacuation immédate. Le Seigneur n'avait pas donné d'ordre mais s'il attendait ce dernier, ils allaient tous mourir ici !
Les ordres étaient distribués ce qui déjà mettaient en ébullition tout le monde et la confusion commençait à gagner chacun rendant les communications difficiles.
Soudain, Julus apparut dans la place ce qui figea l'ensemble des gens. Il se dirigea vers Axel qui lui fit un rapport rapide.

"Et le Général Sid vous a laissé dans ce foutoire?"

"Oui, Coeur Noir."

Julus regarda tout le monde qui se remit au travail avec célérité. Julus attrapa le col d'Axel :

"Vous vous fichez de moi? Vous avez pas réussi à réglé cette confusion ! Vous êtes un incapable !"

Axel devint tout blanc avant que Julus le relâche et hurle pour capter l'attention de tout le monde.

"Toi et toi ! Vous me rappellez les troupes sur les positions défensives du poste de commandement ! Toi et toi tu stop l'arrivage des transports de logistique et troupe puis vous faites passer le matériel en urgence dans les navettes avant les hommes qui devront être le minimum vitale pour que tout se déroule correctement ! Et vous... Vous venez avec moi ! Les autres continuez de faire les rapports et transmettre les informations."

La transmetteuse se leva et alla avec Julus qui l'entraina rapidement avec lui. Axel eut un soupir de soulagement.

"Eh l'abrutit ! Tu me trouves le moyen de récupérer le Général Sid en vie avec ses hommes ! Sinon je te met la tête sur un pic à Saillonne !"

"Vous savez mademoiselle je me dois de vous avouer que vous méritez d'être ma transmetteuse personnelle. Si vous preniez la peine de passer devant je vais vous montrez quelque chose..."


Axe Chantier

"A moins que..."

Le rappelle d'une promesse lui revint à l'esprit. LEs paroles de Rongar et d'Aya aussi lui revinrent. Ce qui décida Dakata de se détourner du couple de la cité. Il fit un signe à ses soldats qui rompirent les rangs et continuèrent de se replier avec rapidité. Murielle cria de rage quand Aya eut un soubresaut. Elle se redressa sur ses pieds et regarda Malyssia avec un regard étrange : voilée et comme ailleurs.

"La... ferme... Julus..."

Les mains de Aya se posèrent en même temps sur le ventre de Malyssia qui reçut une puissante décharge d'ion.
Haine fut repoussé légèrement, ou bien avait il bougé pour sauver Malyssia? Mais cela permit à Murielle de frapper avec son bouclier, sans savoir vraiment si elle avait touché, pour qu'elle puisse se redresser d'une pirouette. Haletante et secouer de frisson désagréable, elle regarda ses deux adversaires que Dakata délaissait. Elle ne comprenait pas pourquoi il laissait passer cette occasion d'en terminer avec son ennemie mortelle.

"Je crois que je vais me tailler la part du lion en m'offrant un tromphée de sorcière ! Hihihihi."

"Nous partons Murielle !"

Murielle n'en revenait pas de ce qu'elle avait entendu. Serrant les dents face aux regards inquisiteurs des deux personnes, elle se pencha pour prendre par l'épaule Aya et la tira tout en tenant en joue de son épée les deux autres. Dakata s'arrêta un instant et tourna la tête.

"Ridicule mortel. Tu as une partie de toi même qui voudrait te revoir. J'espère que tu sauras apprécier, mortel."

Puis il se remit en route. Une dizaine de soldat se mirent en ligne et pointèrent le couple montrant leurs déterminations à tirer si jamais l'un d'eux voulait attenter à la vie du Seigneur Dakata ou à celle des deux coeurs noirs qui se repliaient en étant gravement touchés.

Saiko ressentait un inquiétude certaine face à la possibilité que Shiro la tue. Elle avait peur, non pas de mourir, mais de la vengeance que ses frères exigeraient... Elle ne voulait pas qu'il souffre à cause d'un instinct. Surtout qu'elle savait qu'elle vivrait au sein de la Terre et de sa mémoire pour toujours tout comme ses ancêtres avant elle. Elle se devait de répondre à la question de Shiro, mais devait-elle répondre par un énigme ou par la vérité? Une énigme serait agréable pour le petit Shiro, il pourrait se creuser la tête et elle pourrait peut-être gagner du temps et permettre à Malyssia de revenir plus rapidement. Saiko sourit un peu tristement à l'enfant.

"Une pierre se mange-t-elle? Elle est une partie de l'âme d'une élémentaire de terre. Une âme se mange-t-elle, d'après toi?"

Saiko offrit un autre sourire, puis reprit son souffle : à l'histoire maintenant...

"Je continue maintenant mon histoire... L'élémentaire originelle de Terre était considérer comme étant une déesse par les peuples qu'elle avait créer. On la prenait pour une déesse de la connaissance et pour une déesse-mère, pourtant elle avait ses moments de colère et de violence. Elle pouvait parfois anéantir " (la suite pour plus tard ou demain)

Haine plissa les yeux, alors s’était comme ça que Dakata comptait se débarrasser d’eux; en leur tirant dessus. Pas très menaçant. Il se déplaça pour faire une barrière entre les tireurs et sa Malyssia. De plus l’idée qu’une partie de lui, souhaitait le voir était absurde. L’albinos plissa les yeux et grogna, ça n’allait pas finir ainsi.

-Maly-chan, tu sais quoi faire?

Il savait que sa douce n’allait pas laisser partir l’innommable comme ça. Pour lui cette perspective ne lui plaisait pas vraiment. Cet "homme", s'il l'était devait; oui être éliminé, mais pas sur un coup de tête. Oh tien, Haine semblait retrouver lentement ses esprits... Enfin presque... Rapidement il se saisit de son fusil et tira sur tous les assaillant. On entendit des cris et également des coups de feu, mais rien de plus venant de leur part.
Les traces du chien et les algues avaient mystérieusement disparu... Par contre dans le château... de longues plaintes et des grattements incessant au pied d'un mur... C'était exactement le bruit de griffes. Depuis quand un animal excepté Kusa-chan était admis dans l'enceinte du château? Mais la vrai question était, qu'est-ce que ce chien cherchait ainsi?
Haine baissa un instant la tête la douleur était intense... qu'est-ce...?

- Ayame...

Ce fut un choc, et il releva la tête.

- Malyssia il faut aller retrouver Shiro... Maintenant! J'ai le pressentiment que quelque chose de regrettable pourrais arriver...

Il fit monter sa douce sur son dos et se dirigea à toute jambe vers le château... ( J'ai fait de mon mieux sous la pression...)